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Fonds d'archives
Chavannes, Fernand
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Trop tard pour « Musique de tambour » aux Cahiers Vaudois ?

1 f. plié en 4 daté d'un vendredi matin : probablement celui précédant la lettre du 24 juillet 1919 où RAMUZ développe pour CHAVANNES son idée que les « Cahiers Vaudois » sont en trop mauvaise situation financière pour éditer sa pièce « Musique de tambour », idée qui n'est qu'esquissée dans ce mot.

Théâtre, cinémas

Photocopie. Encore plus abruptement que dans sa chronique du Théâtre à Orange (1909), CHAVANNES oppose le théâtre savant de François DE CUREL, présenté au Théâtre de Lausanne avec la grande comédienne Greta PROZOR, aux petits films de CHARLOT, auxquels le public se presse au Théâtre Lumen, de l'autre côté du Grand Pont.

Lettres d'Odette CHAVANNES à sa mère Marie DUFOUR

Dans ces deux lettres à sa mère Marie CHAVANNES-DUFOUR, Odette MUSSART-CHAVANNES qui vit en région parisienne (12, rue Chateaubriand à Chatenay [-Malabry, act. 92]) est alors jeune maman de 2 fillettes.

Iconographie

Grand tirage (20 / 31 cm) probablement en 1987 d'une photographie prise en 1920 par François Simon (le futur comédien Michel Simon) à Genève au Théâtre de la Maison communale de Plainpalais. On reconnait entre les deux gendarmes Farinet, joué par Georges Pitoëff, et presque au centre, en noir avec un col en V blanc, Ludmilla Pitoëff, qui jouait la Belle Gabrielle.

Fernand CHAVANNES peignant en plein air à Féchy

Fernand CHAVANNES a parlé dans ses lettres à RAMUZ de ses séjours dans la propriété de son frère à Féchy. Il ne porte plus la barbe, et semble avoir le front plus dégagé que dans la photo inversée : sur ce portrait, il semble avoir passé les cinquante ans, d'où la date proposée de 1921, l'année d'avant son départ pour Paris. Ce tirage (sur même papier et ayant passé par le même système de fixation du même album de famille que la photo dans un fauteuil) porte la légende < Oncle Fernand [ajouté] CHAVANNES / à Féchy > et au crayon le nom de l'ayant droit de la photo, la nièce O[dette] MUSSART-CHAVANNES et son adresse Bd des Tranchées à Genève. Un autre tirage plus grand, non légendé, est joint.

Le Grand Homme

« Le Grand Homme » est une pièce en 3 actes qui se présente sous la forme de 3 tapuscrits, un par acte. La pièce est datable par la correspondance de CHAVANNES à Jacques COPEAU (lettre du 26 juin 1922). Ces 3 tapuscrits portent sur la couverture : < Acte 1er > 51 ff., < Acte 2e > 46 ff., < Acte 3e > 44 ff. ; du même papier semi-transparent pour copies carbone à la machine à écrire. Les couvertures sont similaires, de papier fort, orangé, où les feuilles sont cousues par le côté d'une double cordelette verte apparaissant en haut et en bas au recto et sur les trois longueurs au verso. Le tampon de l'agence de copies Henri Mas, à la rue Henner 11 ne figure qu'en haut à droite des couvertures (NB. ce tampon ne mentionne pas de téléphone). On peut supposer que CHAVANNES a fait expressément faire ses copies (voir aussi « La Tragédie de Napoléon ») par l'agence parisienne lors d'un séjour parisien à l'été 1922, dans la perspective de les transmettre à COPEAU (à qui il destinait la création de la pièce en priorité), pour pouvoir lui transmettre un texte présenté de façon plus professionnelle qu'il ne pouvait l'obtenir à Lausanne.

Fernand Chavannes dans un fauteuil

Il a l'air encore plus âgé sur cette photo qui, il est vrai, n'est pas très nette. Ce tirage (sur même papier et ayant passé par le même système de fixation du même album de famille que la photo où il peint à Féchy) doit donc être encore un portrait pris à l'intérieur des Prases à Pully, mais peut-être en 1922, au cours des derniers temps qu'il y passe avant de vendre la propriété et de se fixer définitivement à Paris.

Chavannes s'installe au 5 de la rue Raynouard, dans le 16e arrondissement

  • 2 photocopies d'une même lettre originale manuscrite de CHAVANNES au peintre Henry BISCHOFF. L'une a été faite par celui qui en était alors le détenteur, Luc BISCHOFF, pour la recherche de Doris JAKUBEC et avant sa parution dans « Études de Lettres » (le papier lisse caractéristique des premières feuilles de photocopie [ca 1967]) ; l'autre photocopie peut avoir été prise en 1987, pour de l'exposition CHAVANNES à la Grange de Dorigny. Dans cette lettre qu'il date du 5 de la rue Raynouard, 16e, le 10 décembre [1922], CHAVANNES relate sa réinstallation durable à Paris (ville qu'il avait quittée près de 20 ans auparavant) et sa difficulté de retrouver un logement, mais il est dans un quartier qu'il aime et il a revu du théâtre, ce qui lui donne de l'élan. Il critique la peinture française du temps, compare le Salon d'automne au Comptoir Suisse de Lausanne (ce n'est pas un compliment). Il dit aussi son isolement et le vide qu'il sent autour de lui. Complimente son correspondant et sa famille.

Bourg-Saint-Maurice (critique de l'édition originale)

Photocopie d'une critique de Gaston BRIDEL parue dans « La Suisse » du 19 juin 1922 à propos de la parution du texte de « Bourg-Saint-Maurice ». Ceci à la place d'un exemplaire de l'édition originale parue chez GEORG à Genève avec 4 illustrations d'AUBERJONOIS à 50 exemplaires numérotés sur Japon, ou d'un volume de la première édition parue de même, mais sur papier normal, et qui manquent toutes deux dans ce fonds.

FRANÇOIS Alexis

Remerciements pour un article, avec portrait:

Retranscription manuscrite par Doris JAKUBEC d'une lettre de CHAVANNES datée de « Les Prases, Pully, le 28 juin », pour remercier d'un article paru dans la « Semaine littéraire » du 24 juin 1922, dans la rubrique « La Vie en Suisse » p. 309-310. Avec pour illustration le portrait de F. CHAVANNES par Alexandre BLANCHET. CHAVANNES suppose que DEBARGE, rédacteur responsable de la « Semaine littéraire » y est pour quelque chose et demande aussi en ce cas de le remercier. [La source et l'emplacement de l'original ne sont pas indiqués : dans la famille FRANÇOIS ?].

CHAVANNES propose à COPEAU « une pièce sur Napoléon [« Le Grand Homme »]

2 copies photographiques de la BN de Paris de 1 f de lettre manuscrite, recto et verso, daté des Prases à Pully, le 26 juin 1922. CHAVANNES propose à COPEAU pour sa saison suivante « une pièce sur Napoléon », qui ne peut être que « Le Grand Homme ». Il achève de l'écrire pour la scène du Vieux-Colombier et se propose de passer deux semaines plus tard la lui apporter à Paris.

CHAVANNES explique sa pièce « Le Grand Homme »

CHAVANNES explique sa pièce « Le Grand Homme » à COPEAU qui vient de lui écrire qu'il n'y trouve pas ce qu'il attendait. Il s'agit d'un rare cas où CHAVANNES s'explique sur ce qu'il a voulu faire. Son principe, qu'il a soutenu dans une de ses lettres à RAMUZ et qui a pour l'essentiel prévalu aux « Cahiers Vaudois », était de faire œuvre avant tout, sans se soucier de les commenter. Il demande aussi à COPEAU de lui renvoyer sa copie. Ce qu'il ne fera pas : ce tapuscrit sera retrouvé, avec plusieurs autres de CHAVANNES dans le grenier de la maison de COPEAU à Pernand-Vergelesses, le 30 septembre 1986.

CHAVANNES quitte la Suisse (il vend sa bicyclette à Alexandre BLANCHET)

CHAVANNES fait ses recommandations à BLANCHET concernant la bicyclette Peugeot avec changement de vitesse, qu'il lui a vendue et vient de lui expédier par le train. S'il la vend, on le comprend, c'est parce qu'il quitte définitivement la Suisse, bien qu'il n'ait pas encore d'adresse à Paris. D. JAKUBEC a daté cette lettre de la mi-octobre 1922. Les 2 ff. sont le recto et le verso d'un demi feuillet, ici en photocopies agrandies en A4.

Nouvelle adresse parisienne, 5 rue Raynouard

Comme à Henry BISCHOFF, CHAVANNES écrit sa nouvelle adresse à Alexandre BLANCHET. Le contenu est très semblable pour ces 2 lettres datée du même 10 décembre [1922]. L'original de 2 pages (le recto et le verso) est agrandi en A4 à la photocopie.

Texte

  • Photocopie reliée press-pan de la 1ère version, intitulée « Napoléon à l'Île d'Elbe » à l'intention de Mme JAKUBEC.
  • 2 tapuscrits originaux de « L'Île d'Elbe », sous couverture de carte souple rouge-orange muette avec le tampon de l'Agence COMPÈRE. Le premier a le tampon avec le tél. Trudaine 10 33, et compte 81 ff. : il s'agit d'une version antérieure qui porte le titre manuscrit au 1er feuillet, et dont les retouches se retrouvent en partie dactylographiées dans l'autre. Le second est une version amplifiée, de 112 ff., avec cinq personnages masculins de plus autour de Napoléon. Le titre est écrit à la machine au 1er feuillet, et comporte encore des retouches, effacements ou recouvrement. Le tampon donne le tél. Trinité 10'33.
  • Photocopie non reliée de cette dernière version, à l'intention de Mme JAKUBEC.

Napoléon à l'Île d'Elbe

« Napoléon à l'Île d'Elbe / Pièce en 3 actes » est la plus ancienne des trois versions connues. La liste des rôles en compte 13 masculins, 7 féminins (dont 3 «Vieilles femmes» représentant le peuple de l'île, comme les 3 hommes de chacune des vallées dans « Guillaume le Fou ». Photocopie à l'intention de Doris JAKUBEC du tapuscrit, corrigé de la main de CHAVANNES, retrouvé le 30 septembre 1986 dans le grenier de la maison de Jacques COPEAU à Pernand-Vergelesses. Copie de 144 ff. ((2)+51, +(1)+31, +(1)+58). La confection de la copie originale montre les caractéristiques de la maison parisienne de copies Henri Mas, à laquelle CHAVANNES a fait appel de 1922 à 1925.

Cahier d'Ernest CHAVANNES adressé à ses filles

Carnet noir avec 5 pages manuscrites d'Ernest CHAVANNES qui dit à ses filles qu'il vient de détruire toutes les lettres de sa femme et de lui, à la dernière demande de celle-ci, désormais décédée. Avec de pareils antécédents, on comprend mieux le rôle destructif d'Odette sur le patrimoine des lettres de son oncle et de ses amis.

Projet pour la Fête des Vignerons

  • CH 000225-8 P027-A-3-3-3
  • SDossier
  • s.d. [été 1924-juillet 1925]
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

Scénario de fête. Tapuscrit non retouché de 35 ff., ce « Projet pour la Fête des Vignerons » a la forme des copies d'Henri Mas à Paris, mais sans son tampon. Sans doute CHAVANNES a-t-il demandé de ne pas l'apposer : il destinait la chose à la Confrérie des Vignerons de Vevey et n'a pas voulu “faire le Parisien”. Ce projet peut être daté entre le bruit d'une prochaine Fête à Vevey qui apparaît dans les journaux au cours de l'été 1924 et juillet 1925 où DORET est désigné par le Conseil et le Rière-Conseil de la Confrérie (le 1er juillet), qui approuve en même temps la proposition de DORET de prendre le poète genevois Pierre GIRARD comme librettiste. L'information sur cette nomination filtre dans la presse deux jours plus tard (3 juillet) et l'annonce officielle en est faite le 2 août et parait dans les journaux dès le 3 août 1925.

La Guide

Tapuscrit de 19 ff. copié par l'Agence COMPÈRE (Trudaine).

Sur le bord

« Sur le bord / (tragique) » en quatre scènes. Tapuscrit copié par l'Agence COMPÈRE (Trudaine 10'33) de 18 pages (1p titre + 16 +1bl) sur vélin semi-transparent, sans caractéristique.

Hall du Départ

Le titre « Hall du départ » est manuscrit, par dessus le titre précédent « À la Gare », qui n'est pas biffé mais mis entre deux parenthèses au gros crayon rouge. Il est aussi indiqué que le genre de ce texte en huit scènes est « comique ». Tapuscrit de 16 ff. reproduit par COMPÈRE tél Trudaine 10 33, ce qui situe donc ce texte au milieu de la seconde période parisienne de CHAVANNES.

L'Île d'Elbe

Cette 2e version connue de « L'Île d'Elbe » est en 4 actes, avec 15 rôles masculins pour 5 féminins. Ce tapuscrit corrigé de la main de CHAVANNES a été retrouvé dans le grenier de Jacques COPEAU en 1986. Le titre « L'Île d'Elbe » est manuscrit sur la première page, au 2e f. suit une page de distribution, puis 75 ff dactylographiées au recto et suivie d'une f. bl. à la fin de chacun des 4 actes (soit au total 81 ff.) La copie dactylographié porte le tampon de l'agence H. COMPÈRE (tél. Trudaine [878] 10-33), ce qui date la copie entre 1926 et 1929.

Altitude

« Altitude » est une nouvelle de 25 ff. en tapuscrit, copié à l'agence H. COMPÈRE (Trudaine 11.39), donc entre 1926 et 1929. Deux exemplaires de la même copie coexistent sous la chemise. Le premier, où les agrafes sont couvertes par la couverture qui a été bricolée, comporte de nombreux ajouts à l'encre, de la main de CHAVANNES.

Le Pays de Ramuz. Paru dans les Cahiers de la Quinzaine (1926)

Copie dactylographiée de l'article critique défendant RAMUZ et les extrémités du corps de la langue française qui viennent régénérer le centre. Paru dans le numéro « Pour ou contre C. F. Ramuz : Cahier de témoignages » à Paris aux éditions du Siècle en 1926, p. 139-142.

Les Vivants et les Morts

« Les Vivants et les Morts » est une nouvelle de 23 ff. en tapuscrit, copié à l'agence H. COMPÈRE (Trudaine 11.39), donc entre 1926 et 1929. Deux exemplaires de la même copie coexistent sous la chemise. Le premier comporte de nombreux ajouts à l'encre de la main de CHAVANNES et un feuillet avec une phrase au crayon, aussi de l'auteur.

FOURTIER Albert

CHAVANNES propose « La Tragédie de Napoléon » au Théâtre National Populaire. Lettre sur papier vergé crème au filigrane « British Crown ». Pli vertical et pli horizontal centraux. Lettre datée du 7, rue de Solférino, Paris 7e, le 20 mai 1926, de caractère officiel et manifestement sans connaissance préalable du destinataire, lequel était bien le second de GÉMIER, mais surtout son administrateur, et n'a jamais mis en scène ni incité à une création, plutôt à des reprises de succès réalisés ailleurs à Paris. Il ne resta d'ailleurs guère que deux ans à la tête du TNP après la mort de GÉMIER en 1933, le Trocadéro étant fermé dès 1935 pour travaux en vue de l'Exposition de 1937.

Les Âmes en peine

Le tapuscrit titré « Les Âmes en peine », de 126 ff agrafés et couverts de carte rouge-orange, porte le tampon de l'agence de copies H. COMPÈRE (tél. Trudaine) donc entre 1926 et 1929. Ce texte est exceptionnellement daté in fine du « 31 décembre 1926. »

Sur Maurice BARRAUD

Notice du KLS [ca 1959], article de François FOSCA dans « L'Art en Suisse » (1927) et sa fresque pour les Archives Suisses relatée dans « Das Werk » de février 1941.

Partitions de Roger VUATAZ

  • 4 feuilles A3 verticales : photocopies des 4 premières pages de la partition de la version orchestrale faite en 1936 de la pièce « Abraham » fresque pour Chœur mixte composée par R. VUATAZ en 1928 et exécutée en 1933 à Genève, dont quelques morceaux avaient été préalablement composés pour la réalisation d'avril 1927 de la pièce de F. CHAVANNES « Le Mystère d'Abraham ». Ces explications sont tirées de la p. 2.
  • 11 feuilles (sur 12 - manque la feuille 4) de photocopies des « Huit méditations » pour orgue, composées par Roger VUATAZ, dont la 3e et la 4e (et peut-être aussi la 2e dont le titre est manquant ?) vienent de l'oratorio « Abraham » qui reprenait des éléments composés pour la réalisation du « Mystère d'Abraham » de CHAVANNES en 1927.

Préparation du spectacle

Photocopie C4 d'une affichette des représentations annoncées pour les lundi 4 (Gala), vendredi 8 et samedi 9 avril 1927 dans la Salle du Conservatoire de Genève, par le Théâtre Romand, mise en scène Jean BARD [enseignant le théâtre au Conservatoire], et musique inédite de Roger VUATAZ.

Critiques du spectacle

Photocopie de la critique de René-Louis PIACHAUD dans « Journal de Genève » du 6 avril 1927, qui a conservé durant toute sa carrière de critique le même dédain méprisant pour les autres auteurs dramatiques romands, à l'exception de son ami fasciste Georges Oltramare.

Dans la nuit

« Dans la nuit / (drame grotesque) » compte cinq scènes et une ou deux retouches manuscrites de l'auteur (p 13, 16). Le tapuscrit a 19 ff. (1 titre + 17 + 1 bl) de papier semi-transparent sans caractéristique, tenus par 2 agrafes encollées sous la couverture de papier fort chamois, avec le tampon de l'Agence générale de copies dramatiques et littéraires H. COMPÈRE, 14 rue Henner Paris 9e, tél. Trudaine [878] 10'33. Ce tampon, qui est aussi en p. titre date le tapuscrit entre 1926 et 1929. On peut même le situer à la toute fin de cette période, puisque ce titre devenu « Ombres de la nuit », raccourci en 4 scènes, porte le tampon COMPÈRE de la période suivante (indicatif Trinité).

« Le Mystère d'Abraham » 2e édition (modifiée), Strasbourg, 1928

Le titre complet est le suivant : « Le Mystère d'Abraham tiré de la Bible par F. Chavannes. Nouvelle édition revue à l'occasion des représentations au Théâtre Religieux de Strasbourg ». Il s'agit d'une nouvelle édition avec modifications du texte par l'auteur : les expressions romandes sont francisées. Paru à « Strasbourg, Librairie des Arts, 5, rue des Francs-Bourgeois, 1928 » avec les mêmes bois de Gampert, mais disposés dans un autre ordre (Marie et l'Enfant prédominant). Exemplaire n° 2 / 50 sur papier japon, seul grand papier, avant 950 exemplaires numérotés 51 à 1000 sur vergé anglais. Exemplaire d'Odette MUSSART - CHAVANNES.

Sur Jean-Louis GAMPERT

1 article d'Alexandre CINGRIA dans « L'Art en Suisse » 1928, et sa notice dans le KLS.

« Vendanges ! Vendanges ! » é. o.

  • CH 000225-8 P027-A-2-7-1-2
  • SSDossier
  • a.i. 20 novembre 1928
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

Édition originale numérotée XXXV / L sur l'épais vélin de Hollande Van Gelder Zonen, 2e grand papier après 15 exemplaires sur Japon et avant 500 exemplaires numérotés sur vélin du Marais. La pièce a paru aux Éditions des Lettres de Lausanne, avec 4 dessins d'Alexandre Blanchet, à l'occasion des représentations de la pièce par Belles-Lettres de Lausanne en décembre 1928. Ouvrage imprimé broché.

« Vendanges ! Vendanges ! » (1ère édition)

  • CH 000225-8 P027-A-2-7-1-3
  • SSDossier
  • a.i. 20 novembre 1928
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

Première édition de la pièce aux Éditions des Lettres de Lausanne, avec 4 dessins d'Alexandre Blanchet, à l'occasion des représentations de la pièce par Belles-Lettres de Lausanne en décembre 1928. Tirage courant, non numéroté. Ouvrage imprimé broché.

Programme

  • Petit tirage photographique (8 / 5 cm) d'un dessin d'AUBERJONOIS (projet de couverture non utilisé pour l'édition du texte de la pièce aux Editions des Lettres de Lausanne)
  • Copie noir/blanc sur papier photographique de grandeur A4 de la couverture du programme de Belles-Lettres de Lausanne 1928 avec dessin d'un couple de brantard et cueilleuse signé J. GAGNEBIN (inspiré de BISCHOFF et d'AUBERJONOIS).
  • Photocopie de la couverture et de deux pages du programme avec liste des rôles et indication que les décors sont de G. A. Augsbourg [Géa AUGSBOURG].

Critique du spectacle

  • CH 000225-8 P027-A-2-7-2-2
  • Pièce
  • décembre 1928-février 1929
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

Critique bellettrienne de la réalisation parue dans la « Revue de Belles-lettres » 1928/29, n° 4 (fév. 1929).

L'Île d'Elbe

  • Cette 3e version connue de « L'Île d'Elbe » compte à nouveau 4 actes, mais est amplifiée à 20 rôles masculins pour 5 féminins. Ce tapuscrit corrigé de la main de CHAVANNES a été retrouvé dans le grenier de Jacques COPEAU en 1986. Le titre « L'Île d'Elbe / pièce en 4 actes » est dactylographié sur la première page (non paginée), au 2e f. suit une page de distribution (1ère page), puis 23 ff. num. (1er acte), 24 ff (21 -1+4 bis et ter) (2e acte), 27 ff. (3e acte), 30 ff (25+4 bis et ter+1 bl) (4e acte), soit au total 105 ff. dactylographiés au recto, avec une f. bl. à la fin de chacun des 4 actes. La copie dactylographiée porte le tampon de l'agence H. COMPÈRE (tél. Trinité [874] 10-33), ce qui date la copie au plus tôt de 1929, et peut-être du début des années 30.
  • Photocopie de cette version (non reliée).

Change

  • « Change / Comédie burlesque / en 3 actes ». La plus ancienne des deux versions connues de cette pièce porte sur la première page, non numérotée, celle du titre, de la main de CHAVANNES, son nom et sa dernière adresse < F. CHAVANNES / 7. rue de Solférino / Paris VIIe >. Elle est composée de 2 ff. pour le titre et la liste des rôles, de 27 ff. pour l'acte 1, de 32 ff. pour l'acte II, de 30 ff. pour l'acte III et d'un f. blanc, soit 92 ff. Elle comporte quelques retouches manuscrites, qui n'ont pas été enregistrées (ou pas de cette manière) dans l'autre tapuscrit. Acte I f. 9, f. 12, f. 26 (ajout au crayon), Acte II f. 7 (toute la proposition disparaît dans la version ci-dessous), f. 13, Acte III, f. 14, f. 17. A l'acte III f. 4 une inversion a été enregistrée et même adaptée plus heureusement dans la version ci-dessous, f. 7 un mot ajouté est à sa place dans la version suivante. A l'acte III f. 5 une didascalie au crayon, n'apparaît pas dans la version ci-dessous, sans doute parce qu'elle est devenue inutile (le personnage double assume d'appeler celui qui entre de deux noms différents).
  • La seconde versions connue de ce même texte comporte de notables différences, semble heureusement resserrée, recentrée sur le dédoublement de personnalité du personnage féminin central. Elle compte 2 + 25 + 32 + 31 (30 + bis) ff. et ne comporte pas de retouches manuscrites, mais il y a une importante modification en pages 7 et 7 bis de l'acte V avec suppression d'une page remplacée par un double feuillet, élimination d'un texte de délire d'un des personnages féminin remplacé par celui du double personnage féminin des Nelly I et II.

Le Hérissé

« Le Hérissé / Pièce en / 3 parties et 7 tableaux / d'après un roman d'Edgar Wallace » selon le titre complet dactylographié en 1ère page est un tapuscrit copié par H. COMPÈRE, tél. Trinité 10'33, donc de la dernière période parisienne de CHAVANNES. Il compte 1 f. titre, 1 f. rôles et 1ère partie – 1er tableau 27 ff., 2e tableau 22 ff., ; 2e partie – 3e tableau 29 ff., 4e tableau 25 ff. ; 3e partie – 5e tableau 35 ff., 6e tableau 9 ff., 7e tableau 11 ff. Soit 160 ff. Il s'agit d'une adaptation de roman américain, où se retrouvent les indignations de Fernand CHAVANNES contre une société qui écrase les imaginatifs, fussent-ils industriels. L'ennemi, ici, est banquier.

Magie

Arguments de la pièce, Journal de Léon CHANCEREL :

  • 11 feuilles A5 manuscrites recto-verso de l'écriture de Doris JAKUBEC avec beaucoup d'abréviations, sorte de notes difficilement lisibles. NB sur la pièce voir aussi les lettres de CHAVANNES à CHANCEREL (1929).
  • 36 feuilles A4 de photocopies recto du Journal de Léon CHANCEREL, coauteur et misanthrope.

Ombre de la nuit

« Ombres de la nuit / Un acte burlesque » se présente sous la forme d'un tapuscrit de 18 pages (1 p titre + 17 p) sur vélin semi-transparent, sans caractéristique. Il a été copié par l'Agence COMPÈRE (Trinité 10'33), c'est-à-dire en 1929 et sans doute pas au-delà, vu sa proximité avec « Dans la nuit », dont il s'agit, en 4 scènes, d'une version recentrée. Le nom du personnage du fou inventeur spolié n'est plus Fool, mais a été francisé en Jacques.

Moi Moi

« Moi Moi / Bouffonnerie » est un texte en sept scènes. Tapuscrit de 40 ff. (1 titre, 37 , 2 bl), de papier semi transparent sans caractéristique, tenus par deux agrafes de côté recouvertes par la couverture de carte orange avec tampon de l'Agence COMPÈRE, avec le numéro de téléphone « Trinité 10'33 » et donc date de l'année 1929 ou suivantes. En bas à droite de la page titre, l'auteur donne comme adresse : « André SAVENAC / p.a - M. le Docteur Monod / 2 rue Rosa Bonheur / Paris XVe ». Outre que ce nom est à peu près l'anagramme de CHAVANNES, tout le texte rappelle très fortement la façon de CHAVANNES, ses jeux d'allitérations et de dialogues, les noms des personnages comiques, etc.

CHANCEREL Léon

  • CH 000225-8 P027-C-1-CHA
  • Dossier
  • 1er juillet - 3 septembre 1929
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

Photocopies de 5 lettres de CHAVANNES à Léon CHANCEREL, co-auteur de la pièce « Magie » qui va être réalisée par Georges PITOËFF. Les originaux manuscrits sont à la Société d'histoire du théâtre à Paris.

Remaniements du texte de « Magie » par CHAVANNES seul, qui l'explique à CHANCEREL

Lettre seulement datée de « lundi », mais qui précède toutes les autres à ce destinataire et par son contenu peut être considérée comme du 1er juillet 1929. On y comprend que la collaboration de CHAVANNES avec CHANCEREL le mystique n'a pas toujours été des plus heureuses : la pièce a été tournée vers des considérations de morale religieuse et CHAVANNES a dû refaire une partie du travail pour que PITOËFF retrouve de l'intérêt au projet.

Tâches parisiennes à réaliser avant la mise en répétition de « Magie »

De Féchy dans le Canton de Vaud, préoccupé surtout de vacances et d'alpinisme CHAVANNES donne des instructions à Léon CHANCEREL resté à Paris, concernant les tâches parisiennes à réaliser avant la mise en répétition de « Magie ». CHAVANNES remercie CHANCEREL de son accord sur le texte définitif, ayant semble-t-il réécrit lui-même en bonne partie le travail commun, pour que la pièce soit « dans le mouvement ». Une copie de ce texte est alors déposé rue Ballu [c'est-à-dire à la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques qui n'avaient plus de textes de Chavannes en 1986.] À noter quatre noms de personnages : Jolson, Valençay, Saignac, Raunier. Pour le décor, PITOËFF veut donner un air vieille France aux premières scènes de chaque acte et très moderne ensuite pour les autres.

Ascensions d'été

CHAVANNES écrit de l' [Hôtel du] Mont-Collon à Arolla (VS) le 8 août [1929] son plaisir de la marche en montagne, qui lui vaut aussi un lumbago. Concernant « Magie », CHAVANNES insiste sur l'importance d'une fin recentrée sur les deux rôles principaux, de l'homme et de la femme (alors que CHANCEREL voulait faire mourir le personnage féminin central et donner plus de place à un personnage féminin secondaire). CHANCEREL semble avoir communiqué à CHAVANNES sa peur que la réalisation par PITOËFF leur fasse des surprises.

De La Fouly (Val Ferret) en attendant la rentrée théâtrale de l'automne

2 feuillets manuscrits photocopiés. Document incomplet. CHANCEREL est parti à son tour en vacances, à Tréboul, au Bar de l'Océan. CHAVANNES lui écrit du Valais (Hôtel du Val Ferret, tenu par la famille RAUSIS-MORAND à La Fouly) qu'il songe rentrer chez lui, rue de Solférino le 1er septembre.

« Magie » doit passer chez Pitoëff entre le 1er octobre et le 1er novembre 1929

CHAVANNES est rentré à Paris et communique à CHANCEREL les nouvelles qu'il a tirées de PITOËFF. Cette lettre datée du 3 septembre annonce que les répétitions de « Magie » vont commencer « dès le 1er septembre. Selon le dossier sur « Magie » et la copie de Journal de CHANCEREL, elles ont commencé le 21 septembre 1929. Et la pièce a sa générale le 16 et la 1ère le 17 octobre 1929, « devant un public chaleureux mais peu nombreux », selon CHANCEREL. La pièce se joue huit fois, puis est retirée de l'affiche.

Iconographie familiale

  • Profil gauche d'un homme à la chevelure et à la barbe blanche ; photographie de Pricam ; ovale légendé au verso « Jules MUSSARD / papa / 1930 ».
  • Deux portraits de face d'hommes âgés, par le photographe de Jongh à Lausanne, l'un légendé au verso < 1958 Lausanne > pourrait être Louis et l'autre non légendé pourrait être Ernest CHAVANNES, les deux frères de Fernand.

Pierre

Photocopie.

Types historiques

Photocopie. A la note amusée de CHAVANNES qui s'étonne de la conservation des attitudes à travers les âges, répond Charles-Albert CINGRIA qui pense qu'il s'agit de mimétisme.

Guérison

« Guérison / Pièce en 3 actes et 5 tableaux » se présente sous la forme d' 1 tapuscrit dactylographié par l'Agence COMPÈRE à Paris, au tél. Trinité 10'33. Paginé par tableaux avec 1 f. titre, 33 ff. , 19 ff., 19 ff., 33 ff. et 32 ff, soit 137 ff. Cette pièce est inspirée de la dernière lutte de Mary Baker Eddy (1821-1910), qui à la toute fin renonce. Comme les premières publications en français des textes de cette fondatrice de la Science chrétienne ne sont pas antérieures à 1928, et que les premières informations biographiques en français la concernant enregistrées à la BNF ont paru dans la « Revue de France » du 15 août 1932, cette pièce peut être considérée comme la dernière de Fernand CHAVANNES.

Critiques du spectacle

  • Jean-Bernard Bouvier dans le « Journal de Montreux » du mardi 11 août 1936, p. 1.
  • Gaston Bridel dans la [« Gazette de Lausanne » du 26 octobre 1936, p. 1].
  • Elisabeth Henri-Hayem, « Lectures du Foyer » 25e année n°51, 19 décembre 1936, pp 3-5 (avec 6 photos du spectacle, et portrait de Jean KIEHL).

« Fernand CHAVANNES » par C.-F. RAMUZ version manuscrite de l'article destiné au « Curieux »

Photocopie du manuscrit daté du 20 mars et signé C.-F. RAMUZ, qui l'écrit en hommage à son ami Fernand CHAVANNES, le jour où paraît dans la « Feuille d'Avis de Lausanne » le faire part de décès. RAMUZ qui destine ce texte au « Curieux », hebdomadaire nommément désigné, va encore modifier son texte avant publication le 28 mars 1936, première (et dernière) collaboration volontaire de RAMUZ à cette publication. 8 pages photocopiées agrafées.

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