Affichage de 405 résultats

Fonds d'archives
Chavannes, Fernand
Aperçu avant impression Hierarchy Affichage :

1 résultats avec objets numériques Afficher les résultats avec des objets numériques

Correspondance avec M. Hugo WAGNER

3 lettres A4, 1 carte A6 et 3 feuilles photocopiées du catalogue raisonné de l'œuvre peint d'AUBERJONOIS par H. WAGNER, n° 172 à 174 avec les 2 photographies qui sont le seul témoignage des décors du 1er et du 3e acte de « Guillaume le Fou » ainsi que le dessin de l'intérieur (2e acte) encore en mains privées.

Carton d'invitation, livre blanc pour les remarques des visiteurs, affiches

  • Carton d'invitation à l'exposition (carte jaune pliée en 2 avec au verso plan d'emplacement de la Grange de Dorigny et annonce de la réalisation de « Bourg-Saint-Maurice » par la Compagnie Fernand CHAVANNES au Théâtre des Bergières à Lausanne en novembre 1987.
  • Livre blanc avec signatures et remarques des visiteurs de l'exposition.
  • Certificat d'affichage modulé de la SGA pour une trentaine d'affiches de l'exposition.
  • Lettre de la SGA, pour un concours.
  • Affichette B4
  • Affiche 64 / 44 cm

Contexte familial CHAVANNES et MUSSARD

Comprend des archives relatives à Odette CHAVANNES, mère de Marianne et Nicole MUSSARD, conjointe d'André Auguste MUSSARD, fille d'Ernest (Charles Edouard) CHAVANNES, lui-même frère de Fernand CHAVANNES, ainsi qu'à d'autres membres de ces deux familles.

Iconographie familiale

  • Profil gauche d'un homme à la chevelure et à la barbe blanche ; photographie de Pricam ; ovale légendé au verso « Jules MUSSARD / papa / 1930 ».
  • Deux portraits de face d'hommes âgés, par le photographe de Jongh à Lausanne, l'un légendé au verso < 1958 Lausanne > pourrait être Louis et l'autre non légendé pourrait être Ernest CHAVANNES, les deux frères de Fernand.

Cahier d'Ernest CHAVANNES adressé à ses filles

Carnet noir avec 5 pages manuscrites d'Ernest CHAVANNES qui dit à ses filles qu'il vient de détruire toutes les lettres de sa femme et de lui, à la dernière demande de celle-ci, désormais décédée. Avec de pareils antécédents, on comprend mieux le rôle destructif d'Odette sur le patrimoine des lettres de son oncle et de ses amis.

Souvenirs de Marthe REVERDIN (alliée MUSSARD)

Tapuscrit de 20 pages dactylographiées, daté de « Genève, octobre 1976 », et adressé par Marthe MOTTU-REVERDIN, qui parle à ses petits enfantas de leur grand-père le pasteur Henry MOTTU.

Ouvrages précieux joints par Odette MUSSARD

  • Henry SPIESS, « L'Amour offensé, poème », Lausanne, Les Cahiers Vaudois 6e cahier de la 3e série, 1ère édition, sans tirage numéroté [1917].
  • C.F. RAMUZ, « La Guérison des maladies », Lausanne, Les Cahiers Vaudois 9e, 10e et 11e cahiers de la 3e série, 1ère édition, sans tirage numéroté (après 8 expl. sur hollande, seul grand papier) [1917].
  • C.F.RAMUZ, « Raison d'être », Lausanne, Le Verseau, juin 1926, réédition à 444 exemplaires, numéro XXII des 33 sur grand hollande signé et dédicacé par RAMUZ en juin 1927 à la Fête de Montbenon.
  • Colette, « Pour un herbier », Lausanne, Mermod, Cercle du bibliophile, [1955].

Eléments bibliographiques

Page 3 seule avec une partie dactylographiée « IV. - Quelques articles concernant Fernand Chavannes et son œuvre » surtout sur les 9 pièces principalement jouées, avec de nombreuses références supplémentaires manuscrites de l'écriture de Doris JAKUBEC.

Partitions de Roger VUATAZ

  • 4 feuilles A3 verticales : photocopies des 4 premières pages de la partition de la version orchestrale faite en 1936 de la pièce « Abraham » fresque pour Chœur mixte composée par R. VUATAZ en 1928 et exécutée en 1933 à Genève, dont quelques morceaux avaient été préalablement composés pour la réalisation d'avril 1927 de la pièce de F. CHAVANNES « Le Mystère d'Abraham ». Ces explications sont tirées de la p. 2.
  • 11 feuilles (sur 12 - manque la feuille 4) de photocopies des « Huit méditations » pour orgue, composées par Roger VUATAZ, dont la 3e et la 4e (et peut-être aussi la 2e dont le titre est manquant ?) vienent de l'oratorio « Abraham » qui reprenait des éléments composés pour la réalisation du « Mystère d'Abraham » de CHAVANNES en 1927.

Iconographie du spectacle

« Le Mystère d'Abraham » de Fernand CHAVANNES a été réalisé par Jean KIEHL avec sa Compagnie de la Saint-Grégoire, à Vaumarcus en juillet 1936. Deux photographies de scène montrent un dispositif scénique en plein air à plusieurs niveaux recouverts de tissus. Dans le pré hors scène, deux costumes somptueux de descendants d'Abraham se font admirer. Deux petites photos montrent C.F. RAMUZ parlant avec Jean KIEHL et KIEHL seul.

« Guillaume le Fou, drame en 3 actes par F. CHAVANNES » 1ère édition

  • 1 volume où la couverture papier fragile est encore à peu près solidaire, bien qu'ébréchée de « Guillaume le Fou » drame en 3 actes par F. CHAVANNES, à Lausanne, 6 Avenue Juste Olivier, Edition des Cahiers Vaudois. 96 pages ((2)+93+(1 bl)). Exemplaire indiqué au bas « Deuxième mille ».
  • 1 volume tout à fait similaire, mais non coupé.

Reprise par le Grenier de Toulouse (1949)

  • feuillets A5 de l'écriture de Doris JAKUBEC qui a extrait ce qui l'intéressait de la presse parisienne sur cette réalisation montrée à Paris par le Grenier de Toulouse.

Bourg-Saint-Maurice (texte-programme 1987)

Texte programme du spectacle, avec distribution en p. 3, dossier de présentation de l'auteur et de l'œuvre (p. 4-15) , le texte de la pièce (p. 16 à 110), et reproduction de dessins des costumes d'Alex MÜLLER (p. 21, 44, 54, 55, 91, 92, 93).

« Vendanges ! Vendanges ! » é. o.

  • CH 000225-8 P027-A-2-7-1-2
  • SSDossier
  • a.i. 20 novembre 1928
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

Édition originale numérotée XXXV / L sur l'épais vélin de Hollande Van Gelder Zonen, 2e grand papier après 15 exemplaires sur Japon et avant 500 exemplaires numérotés sur vélin du Marais. La pièce a paru aux Éditions des Lettres de Lausanne, avec 4 dessins d'Alexandre Blanchet, à l'occasion des représentations de la pièce par Belles-Lettres de Lausanne en décembre 1928. Ouvrage imprimé broché.

« Vendanges ! Vendanges ! » (1ère édition)

  • CH 000225-8 P027-A-2-7-1-3
  • SSDossier
  • a.i. 20 novembre 1928
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

Première édition de la pièce aux Éditions des Lettres de Lausanne, avec 4 dessins d'Alexandre Blanchet, à l'occasion des représentations de la pièce par Belles-Lettres de Lausanne en décembre 1928. Tirage courant, non numéroté. Ouvrage imprimé broché.

Programme

  • Petit tirage photographique (8 / 5 cm) d'un dessin d'AUBERJONOIS (projet de couverture non utilisé pour l'édition du texte de la pièce aux Editions des Lettres de Lausanne)
  • Copie noir/blanc sur papier photographique de grandeur A4 de la couverture du programme de Belles-Lettres de Lausanne 1928 avec dessin d'un couple de brantard et cueilleuse signé J. GAGNEBIN (inspiré de BISCHOFF et d'AUBERJONOIS).
  • Photocopie de la couverture et de deux pages du programme avec liste des rôles et indication que les décors sont de G. A. Augsbourg [Géa AUGSBOURG].

Critique du spectacle

  • CH 000225-8 P027-A-2-7-2-2
  • Pièce
  • décembre 1928-février 1929
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

Critique bellettrienne de la réalisation parue dans la « Revue de Belles-lettres » 1928/29, n° 4 (fév. 1929).

Tamtaratam, programme

  • CH 000225-8 P027-A-2-10-3
  • SDossier
  • 12 août-4 septembre 1983
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

2 cartons-publicitaires en allemand des représentations de cette réalisation à Schaffhouse du 1. Schaffhauser Sommertheater, du 12 août au 4 septembre 1983.

Les Révolutionnaires

« Les Révolutionnaires / Pièce en 3 actes » se présente sous la forme de 3 cahiers manuscrits, 1 par acte, copiés à Paris par l'agence de copies manuscrites H. Compère, 6 rue Hippolyte-Lebas, sur un papier vergé crème sans filigrane. Les 3 cahiers comptent : < Acte 1er > : 35 ff. (soit 1 p. titre, 1 bl, 1 p avec les rôles, 1 bl, 65 pages écrites recto-verso, 1 bl) ; < Acte 2e > : 36 ff. (soit 1 page indiquant l'acte, 1 p. bl, 67 pages écrites recto-verso et 3 bl) ; < Acte 3e > : 22 ff. (soit 41 pages écrites recto-verso et 3 bl). Cet exemplaire enregistre de très nombreuses corrections de l'auteur, qui va jusqu'à couper des pages et les remplacer par d'autres qu'il a réécrite lui-même. L'action située au cœur d'une grande ville (Londres), comme le sujet et la forme de copie manuscrite suggèrent que CHAVANNES a écrit cette pièce durant son premier établissement à Paris, mais avant « La Rougeole » qui en serait une sorte de pendant plus ironique et foncièrement comique (malgré sa fin dramatique).

Celui qui guérit

« Celui qui guérit / Comédie-bouffe en 4 actes et 6 tableaux » à 2 personnages. Tapuscrit de 16 pages copié en Suisse romande, plus précisément à Lausanne, par « Paul CURCHOD, reliures en tout genre, 1 Place du Pont 1, Lausanne » selon l'étiquette collée en haut de la p. 2. => adresse où il exerce de 1898 à 1917 selon les annuaires lausannois (puis il passe rue du Pré 1). Reliure très particulière avec une grande marge à la gauche de chaque page recto et un recouvrement alterné : le bord gauche recto de la dernière page est posée par-dessus la marge verso (bord droit du côté non dactylographié) de la page titre qui est elle-même couverte par le bord recto (à gauche) de la p. 15, couverte par le verso (droite) de la p1 et ainsi de suite jusqu'à l'agrafage central entre la 8e et la 9e page (pages numérotées 7 et 8). La couverture est en carton rigide gris, avec étiquette sur le 1er plat à coins coupés et bordure imprimée à effet de relief ; le dos est toilé noir.

La Tragédie de Napoléon

  • « La Tragédie de Napoléon / Pièce en 3 actes » se présente sous la forme de 3 tapuscrits, un par acte, chaque acte étant indiqué à la machine à écrire sur la couverture. Pour le 1er Acte, la couverture porte toujours le titre « Le Grand Homme » à la machine, corrigé à la main en « La Tragédie de Napoléon ». Version notablement amplifiée du « Grand Homme » envoyé à COPEAU en 1922, cette pièce sous son nouveau titre – a été envoyé le 20 mai 1926 par CHAVANNES à Albert FOURTIER, administrateur et second de Firmin GÉMIER au Théâtre National Populaire (cf Correspondance). Ces 3 tapuscrits qui comportent de très nombreuses modifications manuscrites comptent respectivement : « 1er Acte » 65 ff. ; « Acte II » 54 ff. ; « Acte 3e » 59 ff. ; du même papier semi-transparent pour copies au papier carbone. Les couvertures sont similaires de papier fort, orangé, où les feuilles sont cousues par le côté d'une double cordelette verte apparaissant en haut et en bas au recto et sur les trois longueurs au verso. Le tampon de l'agence de copies Henri Mas, à la rue Henner 11 ne figure qu'en haut à dte des couvertures (sans mention de téléphone). Cette copie très corrigée a dû être envoyée à COPEAU après avoir été recopiée au propre pour FOURTIER et le TNP.
  • Photocopie du document précédent réalisé à l'intention de Doris JAKUBEC (1987), reliée press-pan.

L'Île d'Elbe ; enregistrement RSR Espace 2

  • 2 cassettes audio de l'enregistrement diffusé le dimanche 14 octobre 1990 sur RSR - Espace 2. Réalisation Pierre RUEGG, avec les voix de Michel CASSAGNE, Gérard CARRAT, Jean BRUNO, Jean NATTO, André NEURY, Jean TURLIER, Leyla AUBERT, Harriett KRAATZ, Elisabeth JASINSKA, F. GARFUNKEL, Georges MILHAUD, Jacques MICHEL, Claire DOMINIQUE.

Change

  • « Change / Comédie burlesque / en 3 actes ». La plus ancienne des deux versions connues de cette pièce porte sur la première page, non numérotée, celle du titre, de la main de CHAVANNES, son nom et sa dernière adresse < F. CHAVANNES / 7. rue de Solférino / Paris VIIe >. Elle est composée de 2 ff. pour le titre et la liste des rôles, de 27 ff. pour l'acte 1, de 32 ff. pour l'acte II, de 30 ff. pour l'acte III et d'un f. blanc, soit 92 ff. Elle comporte quelques retouches manuscrites, qui n'ont pas été enregistrées (ou pas de cette manière) dans l'autre tapuscrit. Acte I f. 9, f. 12, f. 26 (ajout au crayon), Acte II f. 7 (toute la proposition disparaît dans la version ci-dessous), f. 13, Acte III, f. 14, f. 17. A l'acte III f. 4 une inversion a été enregistrée et même adaptée plus heureusement dans la version ci-dessous, f. 7 un mot ajouté est à sa place dans la version suivante. A l'acte III f. 5 une didascalie au crayon, n'apparaît pas dans la version ci-dessous, sans doute parce qu'elle est devenue inutile (le personnage double assume d'appeler celui qui entre de deux noms différents).
  • La seconde versions connue de ce même texte comporte de notables différences, semble heureusement resserrée, recentrée sur le dédoublement de personnalité du personnage féminin central. Elle compte 2 + 25 + 32 + 31 (30 + bis) ff. et ne comporte pas de retouches manuscrites, mais il y a une importante modification en pages 7 et 7 bis de l'acte V avec suppression d'une page remplacée par un double feuillet, élimination d'un texte de délire d'un des personnages féminin remplacé par celui du double personnage féminin des Nelly I et II.

Le Hérissé

« Le Hérissé / Pièce en / 3 parties et 7 tableaux / d'après un roman d'Edgar Wallace » selon le titre complet dactylographié en 1ère page est un tapuscrit copié par H. COMPÈRE, tél. Trinité 10'33, donc de la dernière période parisienne de CHAVANNES. Il compte 1 f. titre, 1 f. rôles et 1ère partie – 1er tableau 27 ff., 2e tableau 22 ff., ; 2e partie – 3e tableau 29 ff., 4e tableau 25 ff. ; 3e partie – 5e tableau 35 ff., 6e tableau 9 ff., 7e tableau 11 ff. Soit 160 ff. Il s'agit d'une adaptation de roman américain, où se retrouvent les indignations de Fernand CHAVANNES contre une société qui écrase les imaginatifs, fussent-ils industriels. L'ennemi, ici, est banquier.

Guérison

« Guérison / Pièce en 3 actes et 5 tableaux » se présente sous la forme d' 1 tapuscrit dactylographié par l'Agence COMPÈRE à Paris, au tél. Trinité 10'33. Paginé par tableaux avec 1 f. titre, 33 ff. , 19 ff., 19 ff., 33 ff. et 32 ff, soit 137 ff. Cette pièce est inspirée de la dernière lutte de Mary Baker Eddy (1821-1910), qui à la toute fin renonce. Comme les premières publications en français des textes de cette fondatrice de la Science chrétienne ne sont pas antérieures à 1928, et que les premières informations biographiques en français la concernant enregistrées à la BNF ont paru dans la « Revue de France » du 15 août 1932, cette pièce peut être considérée comme la dernière de Fernand CHAVANNES.

La Suisse italienne

Copie dactylographiée. Comme il le fait pour certains villages vaudois, CHAVANNES décrit ici le Tessin avec des considérations mêlant histoire et géographie physique : « ainsi ce serait le paysage qui décide tout. » Il rapporte des particularités éclairant une forme d'esprit et une forme de bien vivre seulement gâtée par « trois plaies de ce pays » : « les procès, la politique et les Allemands. » Ce qui dans sa perspective inclut « Suisses et autres ». Selon une note de D. JAKUBEC, ce texte est à comparer avec l'ouvrage d'Alexandre Cingria « Itinéraires autour de Locarno » (qui paraîtra vingt ans plus tard).

Les dieux immortels

Copie dactylographiés à partir de la parution dans la « Gazette de Lausanne » de cette description d'un jour et soir de vendange dans la région de Sierre, en Valais et que l'auteur achève, ayant reconnu les rythmes et les folies anciennes de Bacchus faisant fuir Apollon : « Dieu merci nous sommes encore païens ! »

À l'armée suisse. Choses vues sur la route

Copie manuscrite avec des abréviations par D. JAKUBEC de cette chronique de CHAVANNES sur la situation à la frontière suisse et l'arrivée dans un calme village d'une troupe de soldats suisses et les bouleversements provoqués (à rapprocher de sa pièce « La Halte au Village » qui sera joué en 1918 par les PITOËFF).

À l'armée suisse. Ville occupée.

Copie manuscrite avec des abréviations par D. JAKUBEC de cette chronique de CHAVANNES sur la situation à la frontière suisse mobilisée, et qui constitue comme une suite de l'article précédent.

Théâtre, cinémas

Photocopie. Encore plus abruptement que dans sa chronique du Théâtre à Orange (1909), CHAVANNES oppose le théâtre savant de François DE CUREL, présenté au Théâtre de Lausanne avec la grande comédienne Greta PROZOR, aux petits films de CHARLOT, auxquels le public se presse au Théâtre Lumen, de l'autre côté du Grand Pont.

Le Pays de Ramuz. Paru dans les Cahiers de la Quinzaine (1926)

Copie dactylographiée de l'article critique défendant RAMUZ et les extrémités du corps de la langue française qui viennent régénérer le centre. Paru dans le numéro « Pour ou contre C. F. Ramuz : Cahier de témoignages » à Paris aux éditions du Siècle en 1926, p. 139-142.

Types historiques

Photocopie. A la note amusée de CHAVANNES qui s'étonne de la conservation des attitudes à travers les âges, répond Charles-Albert CINGRIA qui pense qu'il s'agit de mimétisme.

Les Vivants et les Morts

« Les Vivants et les Morts » est une nouvelle de 23 ff. en tapuscrit, copié à l'agence H. COMPÈRE (Trudaine 11.39), donc entre 1926 et 1929. Deux exemplaires de la même copie coexistent sous la chemise. Le premier comporte de nombreux ajouts à l'encre de la main de CHAVANNES et un feuillet avec une phrase au crayon, aussi de l'auteur.

Journal 1904 (mars) à 1906 (janvier)

  • CH 000225-8 P027-B-4
  • SDossier
  • Mars 1904 - janvier 1906
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

  • 4e cahier du Journal manuscrit de Fernand CHAVANNES, titré « Journal mars 1904 - janvier 1906 IV ». Cahier B5 de 30 ff. écrits au recto et au verso.
  • Copie dactylographiée (carbone noir) paginée de 41 à 79.

CHAVANNES quitte la Suisse (il vend sa bicyclette à Alexandre BLANCHET)

CHAVANNES fait ses recommandations à BLANCHET concernant la bicyclette Peugeot avec changement de vitesse, qu'il lui a vendue et vient de lui expédier par le train. S'il la vend, on le comprend, c'est parce qu'il quitte définitivement la Suisse, bien qu'il n'ait pas encore d'adresse à Paris. D. JAKUBEC a daté cette lettre de la mi-octobre 1922. Les 2 ff. sont le recto et le verso d'un demi feuillet, ici en photocopies agrandies en A4.

CHANCEREL Léon

  • CH 000225-8 P027-C-1-CHA
  • Dossier
  • 1er juillet - 3 septembre 1929
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

Photocopies de 5 lettres de CHAVANNES à Léon CHANCEREL, co-auteur de la pièce « Magie » qui va être réalisée par Georges PITOËFF. Les originaux manuscrits sont à la Société d'histoire du théâtre à Paris.

Remaniements du texte de « Magie » par CHAVANNES seul, qui l'explique à CHANCEREL

Lettre seulement datée de « lundi », mais qui précède toutes les autres à ce destinataire et par son contenu peut être considérée comme du 1er juillet 1929. On y comprend que la collaboration de CHAVANNES avec CHANCEREL le mystique n'a pas toujours été des plus heureuses : la pièce a été tournée vers des considérations de morale religieuse et CHAVANNES a dû refaire une partie du travail pour que PITOËFF retrouve de l'intérêt au projet.

FLORENTIN Lucienne

  • CH 000225-8 P027-C-1-FLO
  • Dossier
  • 13 décembre 1915 - 11 mars 1916-03-11
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

2 lettres manuscrites (originaux) de CHAVANNES à Lucienne FLORENTIN, proche d'Adrien BOVY et chroniqueuse ou critique d'art du quotidien « La Suisse », à Genève (voir sa notice dans le DHS).

Remerciements pour la chronique sur « Le Mystère d'Abraham »

Original manuscrit de 3 p. sur 1 f. plié en deux. Selon CHAVANNES, les meilleures représentations [du « Mystère d'Abraham »] ont été celles du mercredi et du jeudi. Comme les représentations de cette pièce sont terminées, il va « être tout entier à « Guillaume le Fou ». Il va se rendre à ce sujet à Genève le mardi suivant [14 mars 1916] où « tout va se décider ». Il ne connaît pas le FROMENT, dont sa correspondante lui a parlé (sans doute pour le rôle-titre) [Jean FROMENT, comédien de l'Odéon, joue en représentation de grands rôles à la Comédie, ces années-là]

GILLIARD Edmond

Cette réponse de CHAVANNES à GILLARD depuis les Prases un mardi peut être située à la suite du dîner animé des « Cahiers Vaudois » après une conférence de DUMUR le jeudi 5 février 1914 (cf Ram. A.T. tome V, p. 190 sq). Photocopie de 2 p. du recto de 1 f. plié en deux. L'original était vers 1970 chez Mme Edmond Gillard. Donne une idée de l'animation des discussions aux « Cahiers Vaudois ».

5. Copie de 4 lettres d'octobre et novembre 1905

  • CH 000225-8 P027-C-1-RAM-1-5
  • Pièce
  • 6 octobre 1905 - 18 novembre 1905
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

  • CHAVANNES écrit de Pully un vendredi pour inviter RAMUZ à un thé, ayant semble-t-il prêté sa cuisinière. D. JAKUBEC date la lettre du 6 octobre 1905.

  • RAMUZ est passé à l'improviste et CHAVANNES n'était pas là. Il lui propose de souper chez lui à Pully en fin de semaine, ou lundi. D. JAKUBEC date la lettre du 19 octobre 1905.

  • CHAVANNES remercie RAMUZ pour une adresse de résidence à Paris, où déjà on prononce abusivement le « z » final du nom du romancier. D. JAKUBEC date la lettre du 10 novembre 1905.

  • CHAVANNES écrit de Paris, un jeudi, à RAMUZ qui y est aussi (au 5 rue Sainte-Beuve) pour lui proposer un rendez-vous pour dîner le lendemain soir. D. JAKUBEC date la lettre du 18 novembre 1905.

12. Copie de 3 lettres de janvier à mai 1908

  • CH 000225-8 P027-C-1-RAM-1-12
  • Pièce
  • 28 janvier 1908 - 18 mai 1908
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

  • Suite et fin de la lettre de CHAVANNES à RAMUZ où, après avoir évoqué sa pièce « Jephté », il aimerait pouvoir la lui lire, ou qu'il lui la lise. Semble s'être fâché avec Louis DEBARGE, de la « Semaine littéraire » et demande à RAMUZ s'il peut intercéder. Envoie ses amitiés à SPIESS et à BOVY. Lettre datée par D. JAKUBEC du 17 janvier 1908.

  • Carte postale de CHAVANNES avec manques de texte [sans doute au verso du timbre découpé] pour remercier RAMUZ de lui avoir écrit et fait parvenir une image avec de grands personnages en manteaux rouges sur soleil couchant. Il avertit qu'il risque de devoir se rendre à Naples chez son frère, ce qui l'ennuie. Il fait ses amitiés à SPIESS et à BOVY qui sont encore avec RAMUZ. Carte datée par D. JAKUBEC du 28 janvier 1908.

  • CHAVANNES écrit de Pully un vendredi soir à RAMUZ à La Sapinière, sur l'av. de Beaulieu, à Lausanne, pour annuler un rendez-vous arrangé au cours de l'après-midi pour le lendemain soir « avec la personne qui doit me copier mon acte (elle n'est libre que le soir), pour lui expliquer – – » [sans doute un ou une dactylographe qui fait ainsi des heures supplémentaires, systèmes de fortune et toujours bricolés comme en témoignent les reliures toutes différentes des tapuscrits de la période où CHAVANNES réside à Pully]. Il demande à RAMUZ de reporter leur rendez-vous du samedi au lundi soir : il a envie de parler avec lui de style. Lettre datée par D. JAKUBEC du 21 février 1908.

  • Carte postale écrite par F. CHAVANNES un lundi pour se réjouir que RAMUZ soit à nouveau à Lausanne et pour l'inviter à venir le mercredi chez lui, ou sinon le vendredi. Carte datée par D. JAKUBEC du 18 mai 1908.

19. Copie de 3 lettres d'octobre à décembre 1910

  • CH 000225-8 P027-C-1-RAM-1-19
  • Pièce
  • 14 octobre 1910 - Noël 1910
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

  • CHAVANNES écrit des Prases un vendredi à RAMUZ qu'il renonce à organiser la soirée fondue prévue parce qu'AUBERJONOIS, « ne veut ou ne peut pas » et qu'Ernest ANSERMET ira sûrement au concert d'un « quatuor belge ». Il s'agissait d'une dernière occasion de revoir RAMUZ avant son hiver à Paris, et CHAVANNES lui souhaite bon voyage et bon hiver en espérant pouvoir s'y rendre aussi, sans certitude. D. JAKUBEC date cette lettre du 14 octobre 1910.

  • CHAVANNES répond des Prases un mardi à RAMUZ au 17 rue Boissonnade à Paris 14e, et le plaint, apprenant qu'il cherche à se reloger, sans succès encore. CHAVANNES évoque les six semaines de travaux qui viennent de le mobiliser aux Prases où il a fait installer le chauffage. Il pense louer sa villa refaite et partir en voyage. Personne ne s'est encore annoncé pour louer. CHAVANNES évoque son rhume, un retard de lecture des œuvres de RAMUZ, avoir vu AUBERJONOIS et MURET, puis demande des informations sur Francis de MIOMANDRE, Charles Louis PHILIPPE et Marguerite AUDOUX. D. JAKUBEC date cette lettre du 16 novembre 1910.

  • CHAVANNES écrit le jour de Noël depuis Tunis (alors sous protectorat français) une carte postale à RAMUZ, installé finalement au 24 rue Boissonnade. CHAVANNES a pu louer sa maison et voyage donc au Sud de la Méditerranée, apprécie la douceur du climat en plein hiver et les belles choses, mais peu l'animation des lieux qu'il qualifie de « mascarade permanente ». D. JAKUBEC date cette carte de Noël 1910.

25. Copie de 2 lettres de mai et juillet 1913

  • CH 000225-8 P027-C-1-RAM-1-24
  • Pièce
  • 13 mai 1913, 19 juillet 1913
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

  • CHAVANNES écrit un lundi de Grandchamp à Jouxtens [c'est-à-dire des chez les AUBERJONOIS alors résidents parisiens] à RAMUZ [à Paris] qu'il va aller le voir, ayant accepté une place dans une loge réservée par leur groupe pour une représentation de « Boris Goudonnof » [« Boris Godounov » de MOUSSORGSKI fut présenté par Serge DIAGHILEV avec les Ballets Russes au Théâtre des Champs Élysées à Paris le 22 mai 1913]. Il pense partir pour Paris dans huit jours, juste après une réunion avec Adrien BOVY, Alexandre CINGRIA et Paul BUDRY à Rolle pour avancer sur le projet des « Cahiers Vaudois ». Il donne des nouvelles du congrès olympique qui a été l'événement de toutes les conversations lausannoises qu'il considère plutôt sous l'angle sociologique que sportif. Décrit la nature printanière et va écrire « à l'hôtel des États-Unis ». D. JAKUBEC date cette lettre du 13 mai 1913.

  • CHAVANNES écrit un samedi de la Pension du Château à Begnins à RAMUZ qui réside chez les CINGRIA à La Belotte, sur la rive gauche à Genève pour annoncer son arrivée le jeudi. D. JAKUBEC date ce mot du 19 juillet 1913.

26. Copie de 2 lettres de fin juillet 1913

  • CH 000225-8 P027-C-1-RAM-1-25
  • Pièce
  • 25 - 29 juillet 1913
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

– CHAVANNES écrit de la pension du Château de Begnins un 25 juillet à RAMUZ pour tenter de le convaincre d'écrire à AUBERJONOIS afin de le persuader de collaborer à l'entreprise [les « Cahiers Vaudois »]. Il n'est pas bien sûr de parvenir seul à le convaincre, connaissant les préventions qui retiennent AUBERJONOIS comme BLANCHET, deux peintres que CHAVANNES aimerait beaucoup voir à leurs côtés. Il ajoute que l'idée de RAMUZ de tenter d'y inclure aussi Félix VALLOTTON serait tout à fait rédhibitoire en ce sens. De plus Paul BUDRY lui a envoyé un mot pour que CHAVANNES « convoque » RAMUZ à un dîner à Lausanne, ce qu'il suggère possible bien que de délai trop court et pas indispensable encore. D. JAKUBEC date cette lettre de 1913.

– CHAVANNES, toujours à Begnins, écrit à RAMUZ pour lui raconter son entrevue avec AUBERJONOIS qu'il pense avoir réussi, tout de même, à convaincre de voir Félix VALLOTTON et de lui dire un mot en faveur d'une collaboration avec les « Cahiers Vaudois ». CHAVANNES propose à RAMUZ de venir lui rendre visite et même d'occuper la chambre voisine, vide et qui menace d'être louée. Sous ses fenêtres, dans les vignes, une effeuilleuse savoyarde chante du matin au soir des complaintes aux mélodies sauvages et lui rappelle les voix arabes, mais le lasse aussi tout de même. D. JAKUBEC date cette lettre du 28 juillet 1913.

31 et 32. Copie de 3 lettres de novembre 1913 et janvier 1914

  • CH 000225-8 P027-C-1-RAM-1-30
  • SSDossier
  • 6 novembre 1913 - 26 janvier 1914
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

  • f. 31 ht. De l'Hôtel Central à Sierre un jeudi soir, CHAVANNES remercie RAMUZ de lui avoir expédié aussitôt ce qu'il lui avait demandé par une carte postale le jour d'avant afin de rester quelques jours de plus à Sierre, mais il a changé d'avis et avise RAMUZ qui s'y trouve, qu'il va rentrer aux Prases le samedi soir. La neige lui semble aigre et ses soirées vides. Il a vu Albert MURET, avec son épouse, et transmet ses salutations. D. JAKUBEC date cette lettre du 5 novembre 1913, mais comme elle est notée « jeudi soir », elle doit être du 6, ce qui laisse tout juste le temps, à la carte postale du 5 [au matin] d'arriver assez tôt dans l'après-midi pour que RAMUZ fasse et poste le paquet demandé, reçu le soir du 6 à Sierre.

  • f. 31 milieu. CHAVANNES des Prases, un jeudi, écrit à RAMUZ aux Belles-Roches, à Lausanne pour décliner l'invitation à venir souper le samedi, mais lui propose de venir chez lui ou qu'il pourrait venir tous les soirs de la semaine suivante. Il évoque AUBERJONOIS et conseille à RAMUZ de ne pas trop se plaindre : il a la santé et un travail qui donne de bons résultats : le reste sera « donné par surcroît ». D. JAKUBEC date cette lettre du 13 novembre 1913,

  • f. 31 bas et f. 32. CHAVANNES des Prases, un dimanche, écrit à RAMUZ 24 rue Boissonnade, 14e , pour répondre à ses plaisanteries sur les difficultés de la vie parisienne dans le froid et décrit poétiquement la nature pulliérane sous le givre et la glace. Rappelle à RAMUZ que sa maison s'appelle les Prases et non les Phrases (ni les Frasques, terme employé par la tante de CHAVANNES) et en donne la définition patoise de «récoltes ». Demande des nouvelles du Vieux-Colombier où on va jouer «L'Échange » de CLAUDEL, et dit qu'il redoute d'aller voir à Genève [à la Comédie] « L'Annonce faite à Marie » qu'il craint être mal présentée. A reçu une invitation des Cahiers Vaudois pour un dîner offert à DUMUR. Évoque la maison de Treytorrens qu'il encourage RAMUZ à acheter pour avoir « au pays un beau pied-à-terre où caser femme et enfants ». Salue les AUBERJONOIS qui ont froid à Paris et Alexandre BLANCHET. Amusante moquerie du peintre Félix VALLOTTON. D. JAKUBEC date cette lettre du 26 janvier 1914.

Paris gèle, Treytorrens est trop cher, mais comment va le travail ?

1 f. de 4 pages et un petit demi-feuillet pour encore 2 pages manuscrites de C.-F. RAMUZ, qui décrit à CHAVANNES des conditions de vie épouvantables à Paris, à cause des grands froids. Il lui envie sa maison bien chauffée des « phrases (je veux dire les Prases) ». Son projet d'aménager à Treytorrens s'éloigne car la maison a beaucoup de défauts et que le propriétaire en veut trop cher. Il a écrit quelque chose de court pour les Cahiers Vaudois. Il continue d'appeler son épouse Mlle CELLIER et sa fille Marianne, lesquelles ont beaucoup trop mangé du chocolat envoyé par CHAVANNES avec des conséquences physiologiques fâcheuses, dont RAMUZ le remercie pourtant plaisamment.

Fernand CHAVANNES et ses deux frères Ernest et Louis, enfants

Portrait de Fernand CHAVANNES encore enfant, photographié avec ses deux frères, Louis et Ernest, par le photographe O. WELTI, 6 rue du Midi à Lausanne. Né en août 1868, Fernand semble ici avoir environ 7 ans d'où la date estimée vers 1875. Document légendé au verso au stylo bille bleu par un enfant d'Ernest CHAVANNES, désigné en premier comme « Papa », à droite, poursuivant avec Fernand (debout à gauche), puis Louis assis.

Fernand CHAVANNES peignant en plein air à Féchy

Fernand CHAVANNES a parlé dans ses lettres à RAMUZ de ses séjours dans la propriété de son frère à Féchy. Il ne porte plus la barbe, et semble avoir le front plus dégagé que dans la photo inversée : sur ce portrait, il semble avoir passé les cinquante ans, d'où la date proposée de 1921, l'année d'avant son départ pour Paris. Ce tirage (sur même papier et ayant passé par le même système de fixation du même album de famille que la photo dans un fauteuil) porte la légende < Oncle Fernand [ajouté] CHAVANNES / à Féchy > et au crayon le nom de l'ayant droit de la photo, la nièce O[dette] MUSSART-CHAVANNES et son adresse Bd des Tranchées à Genève. Un autre tirage plus grand, non légendé, est joint.

« Sur un écrivain disparu dont s'honorent les lettres romandes » par Jean Marteau dans la « Tribune de Genève »

1 Coupure de presse d'Argus, 1 exemplaire du journal complet. Cet article de Jean Marteau paraît à l'occasion de la création au Casino de St-Pierre à Genève ce mercredi 28 et le vendredi 30 avril de la pièce « Les Filles sur le mur » avec la reprise de « Bourg-Saint-Maurice ». L'exemplaire du journal contenant l'article est quasi complet, à l'exception du portrait de Fernand CHAVANNES qui a été découpé et doit être celui joint à l'iconographie.

« Fernand CHAVANNES » par C.-F. RAMUZ, nouvelle version, raccourcie (1945)

RAMUZ reprend sa présentation de CHAVANNES pour servir de préface à la réédition chez Delachaux et Niestlé de la pièce « Le Mystère d'Abraham », reprend son questionnement sur le succès et l'insuccès et leur suppose des réponses possibles selon deux angles de réflexions de ce temps d'immédiat après-guerre, marxiste ou relativiste, et n'étant ni l'un ni l'autre veut croire plutôt à l'histoire de la graine du blé des pharaons.

Résultats 201 à 300 sur 405