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Fonds d'archives
Chavannes, Fernand SDossier
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« “ Ce que j'ai vu des vendanges” (un souvenir de Fernand CHAVANNES) »

Journal de 4 pages. En page 2 du numéro de sa revue « Espaces » mensuel des arts et des lettres de la Broye et du Jorat, n° 157, d'octobre 1988, à la suite de la relation dans le n°149 de l'automne 1987 qui relatait le reprise de « Bourg-Saint-Maurice » par la Compagnie Fernand Chavannes, le rédacteur André Durussel donne quelques informations bio et bibliographiques à côté d'une reprise d'un texte sur les vendanges tiré du Journal de Fernand CHAVANNES.

« Fernand CHAVANNES » par C.-F. RAMUZ version manuscrite de l'article destiné au « Curieux »

Photocopie du manuscrit daté du 20 mars et signé C.-F. RAMUZ, qui l'écrit en hommage à son ami Fernand CHAVANNES, le jour où paraît dans la « Feuille d'Avis de Lausanne » le faire part de décès. RAMUZ qui destine ce texte au « Curieux », hebdomadaire nommément désigné, va encore modifier son texte avant publication le 28 mars 1936, première (et dernière) collaboration volontaire de RAMUZ à cette publication. 8 pages photocopiées agrafées.

« Fernand CHAVANNES » par C.-F. RAMUZ, nouvelle version, raccourcie (1945)

RAMUZ reprend sa présentation de CHAVANNES pour servir de préface à la réédition chez Delachaux et Niestlé de la pièce « Le Mystère d'Abraham », reprend son questionnement sur le succès et l'insuccès et leur suppose des réponses possibles selon deux angles de réflexions de ce temps d'immédiat après-guerre, marxiste ou relativiste, et n'étant ni l'un ni l'autre veut croire plutôt à l'histoire de la graine du blé des pharaons.

« Fernand CHAVANNES 1868 -1936 » et son « Journal »

  • Édition du « Journal » de CHAVANNES par Doris JAKUBEC (pages 37 à 139) suivi de « Quelques lettres » (pages 141 à 178) puis de quelques articles sur Paris (pages 181-192). Revue de l'UNIL « Études de Lettres ». série III, tome 3, 1970, n° 3-4 (juillet-décembre). Ouvrage imprimé broché (bande annonce conservée : « Fernand CHAVANNES / textes inédits »).
  • Même ouvrage, un des 130 exemplaires de luxe tirés sur vélin Johannot. Ouvrage imprimé broché et non coupé.

« Guillaume le Fou, drame en 3 actes par F. CHAVANNES » 1ère édition

  • 1 volume où la couverture papier fragile est encore à peu près solidaire, bien qu'ébréchée de « Guillaume le Fou » drame en 3 actes par F. CHAVANNES, à Lausanne, 6 Avenue Juste Olivier, Edition des Cahiers Vaudois. 96 pages ((2)+93+(1 bl)). Exemplaire indiqué au bas « Deuxième mille ».
  • 1 volume tout à fait similaire, mais non coupé.

« Lettres de France » critique de Constant Polier (C.-F. RAMUZ)

2 copies dactylographiées de l'article de C.-F. RAMUZ, qui le signe « Constant Polier », sur la parution en ouvrage des critiques de son amis CHAVANNES. Ces deux copies ont des annotations manuscrites différentes : l'une a, au crayon, la date du 11 mai 1915, sans doute fournie par la correspondance de RAMUZ ; l'autre le lieu de parution : « Petit Cahier, supplément aux « Cahiers Vaudois », 1915 ».

« Sur un écrivain disparu dont s'honorent les lettres romandes » par Jean Marteau dans la « Tribune de Genève »

1 Coupure de presse d'Argus, 1 exemplaire du journal complet. Cet article de Jean Marteau paraît à l'occasion de la création au Casino de St-Pierre à Genève ce mercredi 28 et le vendredi 30 avril de la pièce « Les Filles sur le mur » avec la reprise de « Bourg-Saint-Maurice ». L'exemplaire du journal contenant l'article est quasi complet, à l'exception du portrait de Fernand CHAVANNES qui a été découpé et doit être celui joint à l'iconographie.

Arbre généalogique de la famille CHAVANNES

  • Arbre généalogique de la famille CHAVANNES : la 1ère édition [détachée de l'ouvrage d'Ernest CHAVANNES, qui suit] et seconde édition datée de décembre 1892. Tout à droite en bas de l'arbre apparaissent Fernand (1868), ses deux frères Ernest (1869) et Louis (1871) et demi-frères C.-E.-André (1882) et M.-E.-Étienne (1890). Sont ajoutés manuscrits les 4 enfants d'Ernest et de Marie DUFOUR : Marcelle, Marc, Odette et Noëlle.
  • Ernest CHAVANNES, « Notes sur la famille CHAVANNES », Lausanne, Impr. G. Bridel, 1882.

Articles de presse relatifs à Marc CHAVANNES

  • CH 000225-8 P027-E-1-4
  • SDossier
  • 14 avril 1994-21 mars 1995
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

Marc CHAVANNES, neveu de Fernand et banquier, est décédé le 6 avril 1994 à Sarasota (ville de 50'000 habitants en Floride). Aux Etats-Unis où il avait émigré en 1939, après le crash de 1929 qui l'avait ruiné, il avait refait fortune dans les plastiques et le latex.

Bourg-Saint-Maurice (critique de l'édition originale)

Photocopie d'une critique de Gaston BRIDEL parue dans « La Suisse » du 19 juin 1922 à propos de la parution du texte de « Bourg-Saint-Maurice ». Ceci à la place d'un exemplaire de l'édition originale parue chez GEORG à Genève avec 4 illustrations d'AUBERJONOIS à 50 exemplaires numérotés sur Japon, ou d'un volume de la première édition parue de même, mais sur papier normal, et qui manquent toutes deux dans ce fonds.

Carton d'invitation, livre blanc pour les remarques des visiteurs, affiches

  • Carton d'invitation à l'exposition (carte jaune pliée en 2 avec au verso plan d'emplacement de la Grange de Dorigny et annonce de la réalisation de « Bourg-Saint-Maurice » par la Compagnie Fernand CHAVANNES au Théâtre des Bergières à Lausanne en novembre 1987.
  • Livre blanc avec signatures et remarques des visiteurs de l'exposition.
  • Certificat d'affichage modulé de la SGA pour une trentaine d'affiches de l'exposition.
  • Lettre de la SGA, pour un concours.
  • Affichette B4
  • Affiche 64 / 44 cm

Celui qui guérit

« Celui qui guérit / Comédie-bouffe en 4 actes et 6 tableaux » à 2 personnages. Tapuscrit de 16 pages copié en Suisse romande, plus précisément à Lausanne, par « Paul CURCHOD, reliures en tout genre, 1 Place du Pont 1, Lausanne » selon l'étiquette collée en haut de la p. 2. => adresse où il exerce de 1898 à 1917 selon les annuaires lausannois (puis il passe rue du Pré 1). Reliure très particulière avec une grande marge à la gauche de chaque page recto et un recouvrement alterné : le bord gauche recto de la dernière page est posée par-dessus la marge verso (bord droit du côté non dactylographié) de la page titre qui est elle-même couverte par le bord recto (à gauche) de la p. 15, couverte par le verso (droite) de la p1 et ainsi de suite jusqu'à l'agrafage central entre la 8e et la 9e page (pages numérotées 7 et 8). La couverture est en carton rigide gris, avec étiquette sur le 1er plat à coins coupés et bordure imprimée à effet de relief ; le dos est toilé noir.

Change

  • « Change / Comédie burlesque / en 3 actes ». La plus ancienne des deux versions connues de cette pièce porte sur la première page, non numérotée, celle du titre, de la main de CHAVANNES, son nom et sa dernière adresse < F. CHAVANNES / 7. rue de Solférino / Paris VIIe >. Elle est composée de 2 ff. pour le titre et la liste des rôles, de 27 ff. pour l'acte 1, de 32 ff. pour l'acte II, de 30 ff. pour l'acte III et d'un f. blanc, soit 92 ff. Elle comporte quelques retouches manuscrites, qui n'ont pas été enregistrées (ou pas de cette manière) dans l'autre tapuscrit. Acte I f. 9, f. 12, f. 26 (ajout au crayon), Acte II f. 7 (toute la proposition disparaît dans la version ci-dessous), f. 13, Acte III, f. 14, f. 17. A l'acte III f. 4 une inversion a été enregistrée et même adaptée plus heureusement dans la version ci-dessous, f. 7 un mot ajouté est à sa place dans la version suivante. A l'acte III f. 5 une didascalie au crayon, n'apparaît pas dans la version ci-dessous, sans doute parce qu'elle est devenue inutile (le personnage double assume d'appeler celui qui entre de deux noms différents).
  • La seconde versions connue de ce même texte comporte de notables différences, semble heureusement resserrée, recentrée sur le dédoublement de personnalité du personnage féminin central. Elle compte 2 + 25 + 32 + 31 (30 + bis) ff. et ne comporte pas de retouches manuscrites, mais il y a une importante modification en pages 7 et 7 bis de l'acte V avec suppression d'une page remplacée par un double feuillet, élimination d'un texte de délire d'un des personnages féminin remplacé par celui du double personnage féminin des Nelly I et II.

Chavannes s'installe au 5 de la rue Raynouard, dans le 16e arrondissement

  • 2 photocopies d'une même lettre originale manuscrite de CHAVANNES au peintre Henry BISCHOFF. L'une a été faite par celui qui en était alors le détenteur, Luc BISCHOFF, pour la recherche de Doris JAKUBEC et avant sa parution dans « Études de Lettres » (le papier lisse caractéristique des premières feuilles de photocopie [ca 1967]) ; l'autre photocopie peut avoir été prise en 1987, pour de l'exposition CHAVANNES à la Grange de Dorigny. Dans cette lettre qu'il date du 5 de la rue Raynouard, 16e, le 10 décembre [1922], CHAVANNES relate sa réinstallation durable à Paris (ville qu'il avait quittée près de 20 ans auparavant) et sa difficulté de retrouver un logement, mais il est dans un quartier qu'il aime et il a revu du théâtre, ce qui lui donne de l'élan. Il critique la peinture française du temps, compare le Salon d'automne au Comptoir Suisse de Lausanne (ce n'est pas un compliment). Il dit aussi son isolement et le vide qu'il sent autour de lui. Complimente son correspondant et sa famille.

Conférence de presse

  • CH 000225-8 P027-D-4-26
  • SDossier
  • septembre-octobre 1987
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

Conférence de presse commune de l'exposition et de la réalisation théâtrale.

Correspondance avec M. Hugo WAGNER

3 lettres A4, 1 carte A6 et 3 feuilles photocopiées du catalogue raisonné de l'œuvre peint d'AUBERJONOIS par H. WAGNER, n° 172 à 174 avec les 2 photographies qui sont le seul témoignage des décors du 1er et du 3e acte de « Guillaume le Fou » ainsi que le dessin de l'intérieur (2e acte) encore en mains privées.

Création en été 1956 à Aubonne par la Compagnie des Faux-Nez

  • Programme de cette création, illustré des esquisses de costumes de Pierre ESTOPPEY (notamment pour la distribution) ; l'autre moitié de ce programme, disposée tête-bêche et illustrée par Gilbert KOULL, présente les autres manifestations du Festival de la Côte organisé aussi par les Faux-Nez et dans lequel cette création était incluse.
  • Photographie de deux bandes de maquettes de costumes de soldats par Pierre ESTOPPEY.

Critiques du spectacle.

  • Critique de Robert DE TRAZ parue dans le «Journal de Genève » du 18 mars 1918. Cette critique porte aussi aussi sur La Halte au Village ».
  • Critique de P. P. parue dans la «Tribune de Lausanne » du 18 mars 1918. Cette critique porte aussi aussi sur « La Halte au Village ».

Dans la nuit

« Dans la nuit / (drame grotesque) » compte cinq scènes et une ou deux retouches manuscrites de l'auteur (p 13, 16). Le tapuscrit a 19 ff. (1 titre + 17 + 1 bl) de papier semi-transparent sans caractéristique, tenus par 2 agrafes encollées sous la couverture de papier fort chamois, avec le tampon de l'Agence générale de copies dramatiques et littéraires H. COMPÈRE, 14 rue Henner Paris 9e, tél. Trudaine [878] 10'33. Ce tampon, qui est aussi en p. titre date le tapuscrit entre 1926 et 1929. On peut même le situer à la toute fin de cette période, puisque ce titre devenu « Ombres de la nuit », raccourci en 4 scènes, porte le tampon COMPÈRE de la période suivante (indicatif Trinité).

Documentation, correspondance et iconographie

  • CH 000225-8 P027-A-2-10-2
  • SDossier
  • 18 février-6 août 1983
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

  • Correspondance de Doris JAKUBEC avec Alex MÜLLER, avec informations tout public sur l'auteur et le projet du traducteur.
  • 2 tirages photographiques avec chacun trois bandes de 4 costumes dessinés par Lilo MERLO pour cette réalisation schaffhousoise.
  • 1 article de presse de Doris JAKUBEC paru dans le « Samedi littéraire » du « Journal de Genève-Gazette de Lausanne » du 6 août 1983, p. IV pour annoncer cette réalisation sur une traduction de CHAVANNES par Alex MÜLLER.

Eléments bibliographiques

Page 3 seule avec une partie dactylographiée « IV. - Quelques articles concernant Fernand Chavannes et son œuvre » surtout sur les 9 pièces principalement jouées, avec de nombreuses références supplémentaires manuscrites de l'écriture de Doris JAKUBEC.

Fernand CHAVANNES peignant en plein air à Féchy

Fernand CHAVANNES a parlé dans ses lettres à RAMUZ de ses séjours dans la propriété de son frère à Féchy. Il ne porte plus la barbe, et semble avoir le front plus dégagé que dans la photo inversée : sur ce portrait, il semble avoir passé les cinquante ans, d'où la date proposée de 1921, l'année d'avant son départ pour Paris. Ce tirage (sur même papier et ayant passé par le même système de fixation du même album de famille que la photo dans un fauteuil) porte la légende < Oncle Fernand [ajouté] CHAVANNES / à Féchy > et au crayon le nom de l'ayant droit de la photo, la nièce O[dette] MUSSART-CHAVANNES et son adresse Bd des Tranchées à Genève. Un autre tirage plus grand, non légendé, est joint.

Fernand CHAVANNES vers 45 ans (portrait inversé)

Deux tirages photographiques similaires (l'un avec encadrement noir, l'autre sans) du même original (sans doute sur plaque de verre) conservé au Musée de l'Elysée. Ce portrait est malheureusement inversé : le nom F. CHAVANNES est lisible dans un miroir où apparaît alors aussi un visage plus ressemblant aux autres photographies de l'auteur. L'une des deux copies indique <Musée de l'Elysée> et «F. Chavannes au début du siècle>, indication floue qui ne correspond pas à l'âge apparent sur l'image, plutôt proche de la 1ère Guerre Mondiale.

Fernand CHAVANNES, portrait en enseignant élégant

Fernand CHAVANNES a fait faire son portrait selon un procédé rappelant l'ancien daguerréotype, sur plaque métallique très fine couverte d'un genre de colloïde ; la copie photographique de ce portrait, sur papier photographique normal, est jointe. Il apparaît élégant, avec un chapeau et le sérieux nécessaire à la profession d'enseignant d'allemand au Gymnase classique de Lausanne, où il a C.-F. RAMUZ comme élève.

Feuilles de prêt

dont 2 cartes A6, un récépissé et une carte de visite (Vuataz).

Guérison

« Guérison / Pièce en 3 actes et 5 tableaux » se présente sous la forme d' 1 tapuscrit dactylographié par l'Agence COMPÈRE à Paris, au tél. Trinité 10'33. Paginé par tableaux avec 1 f. titre, 33 ff. , 19 ff., 19 ff., 33 ff. et 32 ff, soit 137 ff. Cette pièce est inspirée de la dernière lutte de Mary Baker Eddy (1821-1910), qui à la toute fin renonce. Comme les premières publications en français des textes de cette fondatrice de la Science chrétienne ne sont pas antérieures à 1928, et que les premières informations biographiques en français la concernant enregistrées à la BNF ont paru dans la « Revue de France » du 15 août 1932, cette pièce peut être considérée comme la dernière de Fernand CHAVANNES.

Hall du Départ

Le titre « Hall du départ » est manuscrit, par dessus le titre précédent « À la Gare », qui n'est pas biffé mais mis entre deux parenthèses au gros crayon rouge. Il est aussi indiqué que le genre de ce texte en huit scènes est « comique ». Tapuscrit de 16 ff. reproduit par COMPÈRE tél Trudaine 10 33, ce qui situe donc ce texte au milieu de la seconde période parisienne de CHAVANNES.

Iconographie diverse

  • 4 photographies rappelant les Ballets Russes.
  • 2 reproductions, en couleur et en noir-blanc, de la peinture de René Auberjonois intitulée « Hommage à Madame Pitoëff » avec portraits d'Ernest ANSERMET, Igor STRAWINSKI, C.-F. RAMUZ et René AUBERJONOIS autour de Ludmilla PITOËFF.
    -Reproduction du dessin de Théodore STRAWINSKY enfant qui a croqué le Théâtre de Lausanne le soir de la création de l'« Histoire du Soldat ».
  • Reproduction de la page titre de la « NRF » du 1er juillet 1914, où les notes sur le théâtre concernent Le Vieux-Colombier de Copeau.
  • Reproduction d'une scène de « L'Amour médecin » de Molière au Vieux-Colombier en octobre 1913.

Iconographie familiale

  • Profil gauche d'un homme à la chevelure et à la barbe blanche ; photographie de Pricam ; ovale légendé au verso « Jules MUSSARD / papa / 1930 ».
  • Deux portraits de face d'hommes âgés, par le photographe de Jongh à Lausanne, l'un légendé au verso < 1958 Lausanne > pourrait être Louis et l'autre non légendé pourrait être Ernest CHAVANNES, les deux frères de Fernand.

Jacques & Jean

« Jacques / & / Jean. / Pièce en cinq actes » se présente sous la forme de 4 tapuscrits, 1 par acte, sauf le dernier qui contient le court 4e acte et le 5e acte à la suite. Ensemble 91 ff. (2 titre et rôles, puis 89 ff. numérotés en continu) sur papier vergé semi transparent des papeteries Sihl Mills Pure Linen (filigrane). Les couvertures muettes sont de papier fort à la texture de papyrus bleu-vert recouvrant 3 agrafes de côté. Cet aspect matériel indique une réalisation en Suisse romande, probablement à Lausanne. Par ailleurs, le texte encore proche du naturalisme comme l'étude psychologique de la rivalité entre deux frères suggère le début de la période de retour en Suisse romande de CHAVANNES.

Journal 1903 (mai) à 1904 (mars)

  • 3e cahier du Journal manuscrit de Fernand CHAVANNES, titré « Journal mai 1903 à mars 1904 III ». Cahier B5 de 30 ff. écrits au recto et au verso.
  • Copie dactylographiée (carbone noir) paginée de 1 à 40. Avec l'indication suivante en rouge sur un carton : « Les parties marquées de rouge n'ont pas été publiées dans « Études de Lettres », 1970. D. J. [ Doris JAKUBEC ].

Journal 1904 (mars) à 1906 (janvier)

  • CH 000225-8 P027-B-4
  • SDossier
  • Mars 1904 - janvier 1906
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

  • 4e cahier du Journal manuscrit de Fernand CHAVANNES, titré « Journal mars 1904 - janvier 1906 IV ». Cahier B5 de 30 ff. écrits au recto et au verso.
  • Copie dactylographiée (carbone noir) paginée de 41 à 79.

Journal 1906 (février) V - Pully [et de décembre 1908 à 1910]

  • 5e cahier du Journal manuscrit de Fernand CHAVANNES, titré « Journal février 1906 V Pully ». Cahier de 32 ff. écrits au recto et au verso.
    NB 1 : au 16e feuillet, ce cahier est daté de < décembre 1908 >, ce qui signifie que les trois cahiers suivants datés de mars à septembre 1908 s'intercalent chronologiquement au milieu de celui-ci dont la dernière date donne < février 1910 > vingt pages avant la dernière du cahier, écrit jusqu'à la fin.
    NB 2 : reçu plus tard que les autres (comme les deux plus anciens), ce cahier n'a pu être pris en compte pour l'édition du Journal en 1970 et n'a pas non plus fait l'objet d'une copie dactylographiée.

Journal 1908 / 1 : du 15 mars au 7 avril

  • 6e cahier du Journal manuscrit de Fernand CHAVANNES, titré « Journal 1, 15 mars 1908 au 7 avril ». Cahier de 20 ff. écrits au recto et au verso.
  • Copie à la machine à écrire (carbone noir) paginée de 80 à 115.

Journal 1908 / 2 : du 7 avril au 20 juin

  • 7e cahier du Journal manuscrit de Fernand CHAVANNES, titré « II 1908, 7 avril au 20 juin ». Cahier de 20 ff. écrits au recto et au verso qui s'achève sur un fragment de phrase qui se poursuit au 8e cahier.
  • Copie à la machine à écrire (carbone noir jusqu'à la p. 128, puis bleu ensuite), paginée de 116 à 151.

Journal 1908 / 3 : du 20 juin au 3 septembre

  • CH 000225-8 P027-B-8
  • SDossier
  • 20 juin 1908-3 septembre 1909
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

  • 8e cahier du Journal manuscrit de Fernand CHAVANNES, titré « III 1908 / 20 juin [1908] au 3 septembre 1909. Cahier B5 de 28 ff. écrits au recto et au verso. Poursuite du 7e cahier avec la fin d'une phrase qui y commence. De même, ce cahier s'achève sur une phrase qui se poursuit sans doute sur un 9e cahier non retrouvé à ce jour, qui devait courir jusqu'en novembre 1908, puis reprise en décembre 1908 dans le 5e cahier.
  • Copie à la machine à écrire (carbone bleu) paginée de 152 à 202.

La Rougeole

« La Rougeole / pièce en un acte » (dont l'ancien titre, biffé, était « Jeunesse ») se présente sous la forme d'un cahier de copie manuscrite de l'Agence H. Compère (6 rue Hippolyte-Lebas à Paris). 36 ff. non paginés (soit : 1 p titre, 1 bl., 1 p rôles, 1 bl., 65 pages écrites recto-verso et 3 bl.). La mention sur la p. titre de l'adresse parisienne de <F. CHAVANNES / 15 rue Froidevaux > biffée au crayon et remplacée par son adresse à Bourg-la-Reine situent la pièce et ses diverses retouches manuscrites entre le temps ou CHAVANNES écrit à RAMUZ qu'il cherche à rencontrer André ANTOINE pour lui confier le texte (décembre 1902) et celui où il suit son école d'arboriculture à Bourg-la-Reine de janvier à juillet 1905 (cf D. JAKUBEC).

La Tragédie de Napoléon

  • « La Tragédie de Napoléon / Pièce en 3 actes » se présente sous la forme de 3 tapuscrits, un par acte, chaque acte étant indiqué à la machine à écrire sur la couverture. Pour le 1er Acte, la couverture porte toujours le titre « Le Grand Homme » à la machine, corrigé à la main en « La Tragédie de Napoléon ». Version notablement amplifiée du « Grand Homme » envoyé à COPEAU en 1922, cette pièce sous son nouveau titre – a été envoyé le 20 mai 1926 par CHAVANNES à Albert FOURTIER, administrateur et second de Firmin GÉMIER au Théâtre National Populaire (cf Correspondance). Ces 3 tapuscrits qui comportent de très nombreuses modifications manuscrites comptent respectivement : « 1er Acte » 65 ff. ; « Acte II » 54 ff. ; « Acte 3e » 59 ff. ; du même papier semi-transparent pour copies au papier carbone. Les couvertures sont similaires de papier fort, orangé, où les feuilles sont cousues par le côté d'une double cordelette verte apparaissant en haut et en bas au recto et sur les trois longueurs au verso. Le tampon de l'agence de copies Henri Mas, à la rue Henner 11 ne figure qu'en haut à dte des couvertures (sans mention de téléphone). Cette copie très corrigée a dû être envoyée à COPEAU après avoir été recopiée au propre pour FOURTIER et le TNP.
  • Photocopie du document précédent réalisé à l'intention de Doris JAKUBEC (1987), reliée press-pan.

L'Après-midi à la campagne

« L'Après-midi / à la / campagne / Comédie en un acte » se présente sous la forme d' 1 tapuscrit de 29 ff. (1 titre, puis paginés 1-28) sur papier vergé au filigrane Typewriting Bank Extra Strong, sous couverture de carte souple jaune orange avec 3 agrafes à 1 cm du bord. Timbre à froid au verso de « Jules KERN, travaux dactylographiques, 14 rue Saint-François - Lausanne » qui est à cette adresse dans les annuaires lausannois dès 1903 puis est au n° 18 dès 1914, ce qui permet avec la présence plus constante de CHAVANNES à Lausanne à partir de 1905 de situer un peu la date de cette pièce mettant déjà en jeu des éléments qui se retrouvent dans « La Halte au Village » réalisée en 1918.

Le Déguisement champêtre

« Le Déguisement champêtre / Pièce en un acte, en vers » se présente sous la forme d'un tapuscrit de 31 ff (1 de titre et 30 numérotés) sur papier vergé semi-transparent beige sans filigrane ; la couverture est de papier fort brun orangé portant le litre tapuscrit souligné de « ==== », avec 3 agrafes nues à 1,5 cm du bord. Le texte est datable du début de la période romande, pour sa forme, sa référence au XVIIIe siècle que CHAVANNES abandonne selon son Journal dès le printemps 1908 et parce qu'il se réfère aux « tableaux de Drouais reproduits dans le n° du 1er novembre 1905 de la Gazette des Beaux-Arts » (1ère didascalie, p 1). Il s'agit probablement de cette pièce dont parle CHAVANNES à RAMUZ dans sa lettre du 6 juin 1907. Texte écrit en vers de 7, de 5, de 10 ou de 6 pieds. Cohérence du projet formel à préciser.

Le Grand Homme

« Le Grand Homme » est une pièce en 3 actes qui se présente sous la forme de 3 tapuscrits, un par acte. La pièce est datable par la correspondance de CHAVANNES à Jacques COPEAU (lettre du 26 juin 1922). Ces 3 tapuscrits portent sur la couverture : < Acte 1er > 51 ff., < Acte 2e > 46 ff., < Acte 3e > 44 ff. ; du même papier semi-transparent pour copies carbone à la machine à écrire. Les couvertures sont similaires, de papier fort, orangé, où les feuilles sont cousues par le côté d'une double cordelette verte apparaissant en haut et en bas au recto et sur les trois longueurs au verso. Le tampon de l'agence de copies Henri Mas, à la rue Henner 11 ne figure qu'en haut à droite des couvertures (NB. ce tampon ne mentionne pas de téléphone). On peut supposer que CHAVANNES a fait expressément faire ses copies (voir aussi « La Tragédie de Napoléon ») par l'agence parisienne lors d'un séjour parisien à l'été 1922, dans la perspective de les transmettre à COPEAU (à qui il destinait la création de la pièce en priorité), pour pouvoir lui transmettre un texte présenté de façon plus professionnelle qu'il ne pouvait l'obtenir à Lausanne.

Le Hérissé

« Le Hérissé / Pièce en / 3 parties et 7 tableaux / d'après un roman d'Edgar Wallace » selon le titre complet dactylographié en 1ère page est un tapuscrit copié par H. COMPÈRE, tél. Trinité 10'33, donc de la dernière période parisienne de CHAVANNES. Il compte 1 f. titre, 1 f. rôles et 1ère partie – 1er tableau 27 ff., 2e tableau 22 ff., ; 2e partie – 3e tableau 29 ff., 4e tableau 25 ff. ; 3e partie – 5e tableau 35 ff., 6e tableau 9 ff., 7e tableau 11 ff. Soit 160 ff. Il s'agit d'une adaptation de roman américain, où se retrouvent les indignations de Fernand CHAVANNES contre une société qui écrase les imaginatifs, fussent-ils industriels. L'ennemi, ici, est banquier.

Le Jardin de roses

« Le Jardin de roses / pièce en 2 actes » se présente sous forme de tapuscrit de 1 f. titre et liste des personnages (3 féminins et 4 masculins) puis 25 et 30 ff., soit 56 ff. sur papier vergé semi-transparent sans filigrane, tenus par des agrafes à gauche (3 probablement) et la couverture de papier fort beige-orange est collée sur 2 cm de côté par-dessus. La pièce est datable par la correspondance de CHAVANNES avec RAMUZ et de RAMUZ avec Adrien BOVY, qui s'était entremis pour la faire jouer aux Amis de l'Instruction à Genève, qui n'ont finalement pas osé la monter. BOVY a écrit que cette chose charmante était trop fine pour eux et qu'elle leur avait glissé entre le crâne et le cerveau » (cf « Ramuz ses amis et son temps », t. 2 lettres 428, 452, 480, 491 et 493).

Le Remous

« Le Remous / Pièce /en 4 actes / de / Mr Fernand CHAVANNES » se présente sous la forme de 4 cahiers manuscrits, un par acte, de cette pièce copiée « en belles rondes » par l'Agence de copies théâtrales et littéraires Leduc, au 5 de la rue Hippolyte-Lebas. Cette pratique est évoquée par CHAVANNES dans une de ses premières lettres à C.-F. RAMUZ, ce qui date la pièce du tournant du siècle. Le sujet très romand pourrait même inciter à penser qu'il l'a écrite encore à Lausanne juste avant sa première période parisienne, pendant laquelle il l'a ensuite fait copier. Dans cette disposition, elle précède donc « Les Révolutionnaires » et peut être ainsi considérée comme la première pièce de théâtre de Fernand CHAVANNES connue à ce jour.

Le Soir de la Saint-Sylvestre

« Le Soir de la Saint-Sylvestre / Intermède » se présente sous la forme d'un tapuscrit bricolé de l'époque romande, sous couverture de carte chamois muette. Les pages sont tenues ensemble par trois trombones de laiton doré à tête ronde. 28 ff. de papier sans qualité particulière (1 titre, 1 rôles, 26 paginés). Corrections de l'auteur sur ce texte joueur et inspiré de la foire.

Les Révolutionnaires

« Les Révolutionnaires / Pièce en 3 actes » se présente sous la forme de 3 cahiers manuscrits, 1 par acte, copiés à Paris par l'agence de copies manuscrites H. Compère, 6 rue Hippolyte-Lebas, sur un papier vergé crème sans filigrane. Les 3 cahiers comptent : < Acte 1er > : 35 ff. (soit 1 p. titre, 1 bl, 1 p avec les rôles, 1 bl, 65 pages écrites recto-verso, 1 bl) ; < Acte 2e > : 36 ff. (soit 1 page indiquant l'acte, 1 p. bl, 67 pages écrites recto-verso et 3 bl) ; < Acte 3e > : 22 ff. (soit 41 pages écrites recto-verso et 3 bl). Cet exemplaire enregistre de très nombreuses corrections de l'auteur, qui va jusqu'à couper des pages et les remplacer par d'autres qu'il a réécrite lui-même. L'action située au cœur d'une grande ville (Londres), comme le sujet et la forme de copie manuscrite suggèrent que CHAVANNES a écrit cette pièce durant son premier établissement à Paris, mais avant « La Rougeole » qui en serait une sorte de pendant plus ironique et foncièrement comique (malgré sa fin dramatique).

Lettres d'Odette CHAVANNES à sa mère Marie DUFOUR

Dans ces deux lettres à sa mère Marie CHAVANNES-DUFOUR, Odette MUSSART-CHAVANNES qui vit en région parisienne (12, rue Chateaubriand à Chatenay [-Malabry, act. 92]) est alors jeune maman de 2 fillettes.

Lettres non publiées

  • CH 000225-8 P027-C-1-RAM-1
  • SDossier
  • Décembre 1902-1923
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

35 ff. dactylographiés par Doris JAKUBEC des lettres de Fernand CHAVANNES conservées dans la correspondance de C.-F. RAMUZ à la BCU, mais qui n'ont pas été retenues pour être reproduites dans « C.-F. RAMUZ, ses amis et son temps », ni dans « Études de Lettres » (1970). Elles ont été recopiées dans l'ordre chronologique reconstitué par la copiste elle-même.

Lettres publiées

  • CH 000225-8 P027-C-1-RAM-2
  • SDossier
  • 1907-03-24 - 1913-07-17
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

8 ff. photocopiés de « Ramuz, ses amis et son temps », 6 ff. photocopiés de l'original de la lettre du 6 avril 1913, 2 ff. photocopiés de cette lettre publiée dans « Ramuz, ses amis et son temps », 3 ff. photocopies de l'original de la lettre du 17 juillet 1913, 1 f. photocopié de cette lettre publiée dans « Etudes de lettres » 1970, n° 3-4.

Liste de documents déposés à la Bibliothèque de Genève (BGE), à la Bibliothèque de l'Arsenal et à la Bibliothèque Nationale de Paris

  • Liste de 2 ff. établie à la BGE (à l'époque BCU Genève) par Béatrice PERREGAUX, alors spécialiste de tout ce qui touchait au théâtre à Genève, qui a cherché, sans doute à la demande de Doris JAKUBEC, toute l'iconographie qu'elle pouvait découvrir autour des réalisations de CHAVANNES à Genève, et n'a trouvé des éléments que sur GAMPERT et les deux PITOËFF, mais sans lien avec CHAVANNES.
  • Liste du même genre établie antérieurement par Doris JAKUBEC à Paris, à l'Arsenal (2 ff.), et à la Bibliothèque Nationale de France (1 f.), lors de ses propres recherches.

Liste des créations et des reprises

Fernand Chavannes : créations et reprises de ses pièces de théâtre. Liste établie par Doris JAKUBEC vers 1983. Liste complétée au stylo bleu par Joël AGUET, vers 1993.

Moi Moi

« Moi Moi / Bouffonnerie » est un texte en sept scènes. Tapuscrit de 40 ff. (1 titre, 37 , 2 bl), de papier semi transparent sans caractéristique, tenus par deux agrafes de côté recouvertes par la couverture de carte orange avec tampon de l'Agence COMPÈRE, avec le numéro de téléphone « Trinité 10'33 » et donc date de l'année 1929 ou suivantes. En bas à droite de la page titre, l'auteur donne comme adresse : « André SAVENAC / p.a - M. le Docteur Monod / 2 rue Rosa Bonheur / Paris XVe ». Outre que ce nom est à peu près l'anagramme de CHAVANNES, tout le texte rappelle très fortement la façon de CHAVANNES, ses jeux d'allitérations et de dialogues, les noms des personnages comiques, etc.

Œuvres de Fernand CHAVANNES et d'autres auteurs trouvées dans le grenier de Jacques COPEAU en 1986

  • CH 000225-8 P027-A-1-3
  • SDossier
  • 30 septembre -27 novembre 1986
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

  • 17 feuillets avec la liste dactylographiée par Joël AGUET, à partir de notes prises dans le grenier de la maison de Jacques COPEAU à Pernand-Vergelesses où Madeleine DASTÉ-COPEAU, sa fille, lui avait permis de rechercher les un ou deux tapuscrits que CHAVANNES évoquait dans sa correspondance comme envoyés à son père et jamais réexpédiés. Ils pouvaient selon elle se trouver dans l'amoncellement de textes recouverts d'une bâche depuis les années 50 dans ce grenier. La présente liste répertorie plus de 350 textes, puis 7 tapuscrits de CHAVANNES, dont 4 complètement inconnus jusque-là et deux autres utiles parce que plus proches de la création que la version éditée (« Guillaume le Fou » et « Bourg-Saint-Maurice). Grâce à la générosité de Madeleine DASTÉ, ces tapuscrits ont été confiés à Joël AGUET et se trouvent désormais dans les archives du CLSR.
  • Lettre de Joël AGUET à Doris JAKUBEC accompagnant l'envoi de la liste.

Ombre de la nuit

« Ombres de la nuit / Un acte burlesque » se présente sous la forme d'un tapuscrit de 18 pages (1 p titre + 17 p) sur vélin semi-transparent, sans caractéristique. Il a été copié par l'Agence COMPÈRE (Trinité 10'33), c'est-à-dire en 1929 et sans doute pas au-delà, vu sa proximité avec « Dans la nuit », dont il s'agit, en 4 scènes, d'une version recentrée. Le nom du personnage du fou inventeur spolié n'est plus Fool, mais a été francisé en Jacques.

Ouvrages précieux joints par Odette MUSSARD

  • Henry SPIESS, « L'Amour offensé, poème », Lausanne, Les Cahiers Vaudois 6e cahier de la 3e série, 1ère édition, sans tirage numéroté [1917].
  • C.F. RAMUZ, « La Guérison des maladies », Lausanne, Les Cahiers Vaudois 9e, 10e et 11e cahiers de la 3e série, 1ère édition, sans tirage numéroté (après 8 expl. sur hollande, seul grand papier) [1917].
  • C.F.RAMUZ, « Raison d'être », Lausanne, Le Verseau, juin 1926, réédition à 444 exemplaires, numéro XXII des 33 sur grand hollande signé et dédicacé par RAMUZ en juin 1927 à la Fête de Montbenon.
  • Colette, « Pour un herbier », Lausanne, Mermod, Cercle du bibliophile, [1955].

Photocopies et reproduction tramée

Deux [mauvaises) photocopies rappellent l'existence dans le fonds Luc BISCHOFF de deux photographies de Fernand CHAVANNES au temps des « Cahiers Vaudois », l'une où il est assis sur un talus entre Alexandre CINGRIA et C.-F. RAMUZ, l'autre où il figure tout à droite et hors de la photocopie, après Paul CLAUDEL, Eve FRANCIS, Henry BISCHOFF, René MORAX, Edmond GILLIARD, Charles-Albert CINGRIA. La coupure de presse jaunie sans référence reproduit un portrait de Fernand CHAVANNES de face trinquant la main droite levée, les yeux et le visage souriant sous un chapeau clair et semble-t-il malgré la très mauvaise qualité du tramage grossier, la petite moustache blanche qu'il avait seulement dans les dernières années de sa vie (RAMUZ, « Vie », nov. 1936). [ Cette image a paru dans la « Tribune de Genève » du 28 avril 1937 pour illustrer l'article d'hommage signé Jean MARTEAU. ]

Projet d'édition critique de « Guillaume le Fou »

  • La version la plus aboutie de ce projet d'édition critique se présente en une liasse de 76 feuilles A3, avec une introduction de XV pages, puis l'édition originale du texte aux Cahiers Vaudois en pages impaires à dte avec à gauche les pages paires reprenant les différences de texte offertes par le tapuscrit de la création et les notes de mises en scène (p. 1-121). Suivent en annexe cinq extraits de modifications trop développées pour être mises en regard de la version éditée (p. 123-136).
  • Version précédente du projet, de 72 pages A4 sous enveloppe, reproduisant chacune deux pages verticales, avec quelques annotations pour des corrections ; l'introduction se limite encore à 7 pages et les annexes sont numérotées de a) à q).
  • Acte 1 de « Guillaume le Fou » en édition critique, avec 2 pages par f A4, pour faire correspondre les annotations en regard du texte édité. Donc 20 feuilles A4 et une carte, avec message daté du 2 août [1989].
  • Acte 1 de « Guillaume le Fou » en édition critique, pages par page, donc 41 feuilles A4.

Projet pour la Fête des Vignerons

  • CH 000225-8 P027-A-3-3-3
  • SDossier
  • s.d. [été 1924-juillet 1925]
  • Fait partie de Chavannes, Fernand

Scénario de fête. Tapuscrit non retouché de 35 ff., ce « Projet pour la Fête des Vignerons » a la forme des copies d'Henri Mas à Paris, mais sans son tampon. Sans doute CHAVANNES a-t-il demandé de ne pas l'apposer : il destinait la chose à la Confrérie des Vignerons de Vevey et n'a pas voulu “faire le Parisien”. Ce projet peut être daté entre le bruit d'une prochaine Fête à Vevey qui apparaît dans les journaux au cours de l'été 1924 et juillet 1925 où DORET est désigné par le Conseil et le Rière-Conseil de la Confrérie (le 1er juillet), qui approuve en même temps la proposition de DORET de prendre le poète genevois Pierre GIRARD comme librettiste. L'information sur cette nomination filtre dans la presse deux jours plus tard (3 juillet) et l'annonce officielle en est faite le 2 août et parait dans les journaux dès le 3 août 1925.

Reprise de 1937

  • Programme du spectacle donné au Casino de Saint-Pierre à Genève les 28 et 30 avril 1937 : une feuille A4 pliée en 4 (le pli central a cédé et la feuille est en 2 parties). Il donne les distributions de la création de la pièce en un acte « Les Filles sur le mur » désignée comme « Intermède » et celle de « Bourg-Saint-Maurice » présentée comme une « Comédie en III actes et VIII tableaux » avec dans la distribution plusieurs professionnels ou futur professionnels (Floriane SILVESTRE, Liliane AUBERT, Adrien NICATI, Jean GABIN (un Genevois du même nom que l'acteur) et Pauline MARTIN, qui joue dans et met en scène la seconde). Le spectacle est introduit par une présentation de CHAVANNES par C.-F. RAMUZ. Le groupe d'amis de CHAVANNES qui organise les représentations est composé de Mme Ernest ANSERMET, Mlle Méta BUDRY, MM Maurice BARRAUD, Alexandre BLANCHET, Adrien BOVY, Jean DUCHOSAL, Frank MARTIN, Charles ZANELLO et de M. et Mme André MUSSARD.
  • 4 coupures de presse sur la réalisation genevoise, de respectivement : J.-B. BOUVIER dans « Le Curieux » de Neuchâtel du 15.05.1937 ; M. B. dans la « Feuille d'Avis de Lausanne » du 21.05.1937 ; Ed[ouard] C[ombe] [ Tribune de Genève, jeudi 29.04.1937], un anonyme dans le « Journal de Genève » du 29.04.1937.
  • 3 coupures de presse sur la reprise du spectacle à la Maison du Peuple à Lausanne le lundi 24 mai 1937 : annonce de M. B. dans la « Feuille d'Avis de Lausanne » du 21.05.1937 ; critiques de G. B. [Georges BRIDEL] dans la « Gazette de Lausanne » et de E.-H. C. dans « La Revue de Lausanne » du 28.05.1937.
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