2 l. dact. ; 2 cartes postales ; 1 l. ms.
Notamment à propos des vitraux d'Écharlens et d'Épendes.

Quatorze correspondances témoignant des démarches d'Alexandre Cingria pour trouver un emploi digne de ses compétences et de son talent. Multiples essais infructueux dus, le plus souvent, à la mauvaise conjoncture de l'époque. Ces destinataires comprennent l'Armée Suisse, la Chambre suisse du cinéma, le Conseil d'État de Genève, le Conseil administratif de la ville de Genève, l'École des Beaux-Arts du Caire (à travers le Consulat d'Egypte à Genève), l'École des Beaux-Arts du Genève (Dupraz), l'École des Arts et Métiers de Genève, le Musée d'Art et d'Histoire de Genève, l'École cantonale de Dessin et d'Art Appliqué de Lausanne, l'Office du Travail de Fribourg et l'École Polytechnique Fédérale de Zürich.
Tentative de ses amis (Gonzague de REYNOLD, Paul E. MERTIN, Paul CHAPONNIÈRE, Paul LOGOZ, Jacques CHENEVIÈRE, Pierre AEBY, Joseph PILLER, Joseph BOVET, René-Louis PIACHAUD, Albert PICOT, Jacques SECRÉTAN, Bernard de WECK) pour l'aider dans ses recherches.

18 l. dont on peut identifier quatre sections:

1. Statuts du Groupe. Contient notamment le nom de Robert Hess et du curé A. Suss. (lettres 1 et 2)
2. Pièces concernant les relations du groupe avec Mr. Marius Besson et sa position vis-à-vis de celui-ci. Le journal L'Osservatore Romano et l'Exposition Triennale de Milan y sont mentionnés à la lettre 8. On trouve aussi le nom de François Baud à la lettre 3. (lettres 3 à 8)
3. Un discours d'Alexandre Cingria. (lettre 9)
4. Correspondance relative à une grave crise à l'intérieur du groupe: démssions d'Edgar Voirol, d'Adolphe Guyonnet et de Jean d'Amman, provoquées par des propos malheureux d'Alexandre Cingria concernant la restauration de l'Abbatiale de Saint-Maurice. Y apparait aussi le nom de Jean-Louis Gampert. (lettre 10 à 18)