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- Personne
- 1949-....
Van Leffe est un pseudonyme utilisé par Thierry Bourquin.
Van Leffe est un pseudonyme utilisé par Thierry Bourquin.
Résistant, homme de lettres et éditeur français.
Professeur ordinaire de langue et littérature allemandes (1890-1895) à l'université de Genève.
Ecrivain, photographe, iconographe et voyageur suisse.
Peintre de paysages, professeur de peinture à l'Académie Maximilien de Meuron à Neuchâtel.
Journaliste, défenseur du service civil, il dirigea la revue Suisse contemporaine (Lausanne, 1941-1949).
Médecin, professeur de psychiatrie et de caractériologie à l'université de Lausanne.
Directrice de la maison d'édition Panorama+.
Enseignant, metteur en scène, acteur, scénariste, dramaturge, récitateur, diffuseur
Poète et écrivain français, principal animateur et théoricien du surréalisme.
Peintre, peintre sur porcelaine, enseignant, graveur
Poète, écrivain, historien de l'Église, critique d'art, helléniste, romancier, professeur d'université
Traducteur, poète et enseignant vaudois, marié à l'écrivaine Monique Saint-Hélier.
Historien, critique littéraire, écrivain, historien de l’art
Écrivain, journaliste, scénariste, romancier, conservationniste
Poète, critique et romancière anglaise surtout connue pour ses romans historiques.
Journaliste, poète et écrivain vaudois, fondateur de la Cinémathèque suisse.
Journaliste et psychologue française, militante de la cause féministe attachée à l'esprit de Mai 98.
Ecrivain, critique littéraire, musicologue et enseignant vaudois.
Infirmière ayant étudié les lettres, enseignante en soins infirmiers et écrivaine.
Ecrivaine, peintre de genre, portraitiste, aquarelliste, illustratrice franco-suisse.
Tuberculeux, B. ne put terminer les études de théologie qu'il avait entreprises. A l'académie de Lausanne, il fut l'un des plus fervents disciples d'Eugène Rambert, qui l'encouragea dans une carrière poétique commencée à l'ombre de la revue Suisse romande, fondée par Adolphe Ribaux. Sa maladie, qu'il tentera en vain de soigner à Nice au cours de l'hiver 1885-1886, le força à quitter une place de précepteur à Wiesbaden, où il s'était établi au printemps 1885. Son nom reste lié à un recueil de poèmes, A mi-voix (1886). Vice-président de la Société de Belles-Lettres (1884-1885).